lundi 24 octobre 2011

Un autre trois heures du matin

A croire que ça dépend du contexte
Pour une heure fixée, la qualité du texte
Trois heures du matin, à composer toujours
Sans pouvoir me coucher, sans que le jour

Apparaisse. A croire qu'on peut écrire
Sur de la musique de discothèque
Comme quoi, rien n'est incompatible, le rire
Possible, en échange d'un léger chèque

Car je ne perds pas pour autant le sens des réalités
Quand il s'agit d'argent, et d'humour
Par exemple, celle-ci, sur la mentalité
Scientifique actuelle vaut le détour

Que font Newton et Leibniz quand ils se rencontrent?
Ils se mettent en binôme, pardi
Mais il se fait déjà tard à ma montre
Ils ont une finale à perdre, nos gars enhardis

Fabulle 23/10/2011 (à 3h a.m.)

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