dimanche 21 mars 2010

Péripéties anglophones

Parfois, il y a des soirs où l'on voit noir
Ce qui pourtant est blanc et l'espoir
On ne le voit passer sur sa route
Alors qu'il vous attend, je n'ai pas de doute

Ces soirs là sont bien à la merci
Des mercenaires de la tristesse et ici
J'attendrai que les chevaux viennent
Me trouver dans ma demeure ancienne

Et ceux-ci m'emmèneront dans les vieilles contrées
D'Irlande, de musiques et je me montrerai
Devant les juges intègres pour représenter
Ce que je voudrais voir à l'heure du thé

Car en Angleterre, on ne doit pas savourer
Les goûters sucrés car on ne peut digérer
La défaite infligé pas les Français
On revient toujours aux mêmes choses insensées

Fabulle 20 mars 2010

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