Les premières impressions nous trompent
Mais elles restent ancrées dans la tête
On peut essayer de déjuger mais on ne dompte
Son cerveau, l'image qui nous embête
Ainsi, en arrivant dans ce mobile home
En voyant d'immobiles autres maisons
Serrés en rang, sous ce ciel doré, ce dôme
Je ne peux empêcher ma raison
De penser à ce drôle de Wisteria Lane
Enfin, ce que j'en ai vu, c'est peu
Mais assez pour défier cette plaine
Attendons cependant la que leu leu
Pour critiquer gaiement car admirer
Ne sert à rien en poésie, on n'entend
Jamais que les critiques et les traits
Des poètes et jamais leurs compliments
Fabulle 10/07/2010
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