Je ne suis capable de rien
A trois heures du matin
Ni de vivre, ni un chien
De voir dans le noir du matin
Je ne suis capable de vivre
A trois heures du matin
Ni de voir les chiens ivres
Habillés de tout leur satin
De marcher dans la rue de la nuit
La poète est las, fatigué
Et pourtant, il s'ennuie
Et n'arrive pas à franchir le gué
Non, vraiment c'est cruel
A trois heures du matin
De me provoquer en duel
Sur le terrain du latin
Fabulle 08/04/09
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