Tout bon voyage commence
Par un passage au supermarché
Car pour illustrer sa démence
Il faut deux ou trois cahiers
Sans oublier quelques plumes
Même si c'est parfois des billes
Mais, pour cela il faut que nous dûmes
Obéir aux lois des jonquilles
Alors, le poète est victime
D'acheter ces papiers
Car sans cela il ne trime
Et ne se balade qu'à pied
Et comble du malheur
Sans ces billes et cahiers
Il ne pourrait rendre à l'heure
Ce recueil, maint et maint raillé
Fabulle 03/04/2009
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