jeudi 23 avril 2009

Belle Olympie

Si je rêvais de jeux olympiques
Oui, je l'avoue, mais des vrais
Les plus durs, où ceux qui s'y piquent
Passent un an pour être prêt

C'est pas un métier mais une ruine
Le stade est trop grand
Trop colossal dans cette bruine
Mais ce n'est pas assez pour Alexandre le Grand

Alors ces ruines rappellent des morts
Athlètes sans conscience?
Je ne sais juste qu'ils ne veulent pas l'or
Mais la gloire de gagner à la lance

Ô trop d'hommes ont faibli
Mais un seul vainqueur subsiste
Dans ce site d'Olympie
La belle qui toujours existe

Fabulle 10/04/09

Aucun commentaire: