Toujours les vestiges d'une ville
Qui servait de repos au gens
Épuisés par un voyage, une idylle
Un repos, un arrêt dans le temps
Revenons à ces siècles lointains
Qu'on imagine alors
La vie quotidienne des romains
Heureux, plus heureux que notre sort?
Régresserions-nous de Curium
A nos jours? Peut-être
Pourquoi faisons-nous des péplums
Si ce n'est pour montrer le bien-être?
Certes, il y avait des combats
Du sport et des morts
Mais rien n'a changé, on se bat
Et toujours sous le joug du mauvais sort
Fabulle 14/04/09
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