Chaque fois que je lis de la poésie
Je n'ai qu'une envie, d'écrire un poème
Pour faire mieux que ce que je lis
Même si ce sont les poètes que j'aime
Alors, je prends ma plume et je massacre
Tous mes concurrents, bon, je les respecte
Mais place aux jeunes, voilà mon sacre
Au revoir Verlaine et Baudelaire que je suspecte
De là-haut de vouloir me répondre
Car ces concurrents sont bien souvent morts
Et n'ont pas la possibilité de pondre
Quelques poèmes assassins sur mon sort
Et bien tant pis, ils avaient qu'à prévoir
Dans leurs poèmes qu'ils seront détronés
Car c'est au poète de tout anticiper, savoir
De quoi l'avenir sera fait, et qui sera né
Fabulle 25/05/2013
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire