Cela représente bien un 160ème de notre vie
Et on n'en parle jamais en poésie
Même si à l'époque, il n'y avait la plomberie
D'aujourd'hui, on aurait pu en parler, mais d'hérésie
On aurait taxé ceux qui "Aux latrines"
Auraient nommé leurs poèmes, moi, je me saisis
De tous les sujets, ceux qu'on ne voient en vitrine
Car il faut de la classe face aux passants d'Asie
Alors je vais vous dire ce que je fais aux toilettes
Chose que personne n'avouera jamais de toute façon
Car à la plage, pudique, on jette notre serviette
Dès qu'on arrive, sur les parties des garçons
Moi, je me jette à l'eau, et sans détours
Je vais vous raconter ce qui se passe dans l'endroit
Celui dont les poètes ne voient jamais le jour
A les lire, mais après tout, c'est leur droit
Fabulle 26/05/2013
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