Il faut croire (et c'est bien le terme
Car j'écris dans une église) que c'est un poème
Spécial que j'écris, mon premier poème
Celui d'une renaissance, celui qui de l'épiderme
Me fait lever, le premier après la fin
Une fin programmée de l'humanité, personne
N'y croyait vraiment, même pas moi
Qui pourtant ai frémi quand minuit sonne
Mais voilà, rien, ce ne sera pas pour ce mois
Ni cette année, la roue continue de tourner
Mais alors les mêmes interrogations me reviennent
Que raconter dans mes poèmes? Les nouveaux
De surcroît. Et ben rien, ou tout, chienne
Qu'est la vie, et mes poèmes tout dévôt
Qu'il sont, racontent cela, ma vraie vie
Fabulle 24/12/2012
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