Je n'aurais pas voulu voir la fin
Sans avoir traversé avant la Seine
A Paris et de nuit, et en ayant faim
De lumière, de paillettes, de mécènes
Car il en manque pour financer les poètes
Qui embelliraient Paris et ses nuits
Alors, et gratuitement, je me remets à la lettre
Et écris, insatiable, ou soi-disant, je m'ennuie
Mais revenons à Paris, pas celui de Pascal
Qui doit bien avoir sa rue, ou sa statue
Dans cette ville maudite, près des Halles
Ou de Beaubourg, ou près du marché aux laitues
Mais je m'égare, et c'est encore la meilleure
Façon de visiter Paris, et si je vous le dis
C'est que je n'en sais rien, ou à toute heure
Le poète conseille, même si c'est son dernier vendredi
Fabulle 21/12/2012
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