Je néglige depuis trop longtemps mes lecteurs
C'est-à-dire moi, je vous dis que ça va changer
Je repars en croisière pour ce mois, ce bonheur
Je le dois au travail dans l'espoir que l'étranger
De la vie ne s'échoue pas sur de frêles esquifs
Qu'une mécanique sournoise me coule par le fond
Je crains l'amer comme l'acide, la base du bijectif
Ensemble, tout devient possible, dénombrer ces ponts
Ces mines, ces centrales, je rêve de supérieur
Mais cela passe par faire quelques bornes
En solo, je me lance, j'ai finalement vider mon trieur
C'est la fin, mes amis, d'une médaille, je vous orne
Car après tout, on a bien bossé, mais pas assez
Je le sens, traîtrise qu'est cette mémoire
Au matin du 16, je commencerai l'unique essai
Pour qu'une autre vie débute, il faut y croire...
Fabulle 02/04/2012
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