En cadeau de fin d'année, des poèmes ou essais que j'avais oubliés. ***JOYEUSES FETES***
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lundi 31 décembre 2007
Une vielle balade
Ses milliers de gens attendent
Sous une vieille arcade
Des riches à ceux qui mandent
C'est une vieille balade
Dans ce pays désolé
La vie n'attend plus
Tous sont auréolés
De gloire en surplus
Les villes s'animent
Les personnes sortent
A quoi cela rime?
Prenez la porte
Je m'esclaffe souvent
Je rigole à cette boutade
Allez droit devant
Pour cette vieille balade
Fabulle 30/12/07
Sous une vieille arcade
Des riches à ceux qui mandent
C'est une vieille balade
Dans ce pays désolé
La vie n'attend plus
Tous sont auréolés
De gloire en surplus
Les villes s'animent
Les personnes sortent
A quoi cela rime?
Prenez la porte
Je m'esclaffe souvent
Je rigole à cette boutade
Allez droit devant
Pour cette vieille balade
Fabulle 30/12/07
Passé monochromée
Étudions cette phase de passé monochrome
Un passé teint d'une couleur appelé douleur
Une douleur acceptait avec résignation
Une résignation qu'un homme n'acceptaient guère
Une guerre sous le signe de la cruauté
Fabulle Essai
Un passé teint d'une couleur appelé douleur
Une douleur acceptait avec résignation
Une résignation qu'un homme n'acceptaient guère
Une guerre sous le signe de la cruauté
Fabulle Essai
La voie de la folie
Les humbles soldats
Qui gardent au prix de leur vie
Des joyaux apportés de Panama
Ramenaient sur ce parvis
Des richesses accumulées
Par l'envie des hommes
Les gens envient, l'air acculé
Devant le Trésor de Rome
Or, argent et rubis
La voie de la folie
Un chemin auquel on subit
Où les langues se délient
Les humbles soldats
Qui gardent au prix de leur vie
Des joyaux apportés de Panama
Ramenaient sur ce parvis
Fabulle
Qui gardent au prix de leur vie
Des joyaux apportés de Panama
Ramenaient sur ce parvis
Des richesses accumulées
Par l'envie des hommes
Les gens envient, l'air acculé
Devant le Trésor de Rome
Or, argent et rubis
La voie de la folie
Un chemin auquel on subit
Où les langues se délient
Les humbles soldats
Qui gardent au prix de leur vie
Des joyaux apportés de Panama
Ramenaient sur ce parvis
Fabulle
Je suis un poète
Je suis un poète de pacotille
Qui joue avec les mots, les titillent
Les fait disparaitre comme apparaitre
Transformant phrases en êtres
Je suis un poète vagabond
Voguant au gré du son
Pour créer le premier
Ce que vivrait le dernier
Je suis un poète
Qui payent ses dettes
En écrivant comme un force-né
La raison pour laquelle je suis né
Fabulle 30/12/07
Qui joue avec les mots, les titillent
Les fait disparaitre comme apparaitre
Transformant phrases en êtres
Je suis un poète vagabond
Voguant au gré du son
Pour créer le premier
Ce que vivrait le dernier
Je suis un poète
Qui payent ses dettes
En écrivant comme un force-né
La raison pour laquelle je suis né
Fabulle 30/12/07
vendredi 28 décembre 2007
Emprisonné
Ma 60ème création
La lune me regardait d'un oeil mauvais
Et entre les barreaux, je suis arrivé
Un vieux journal prêt à être recyclé
Daté d'une époque où je n'était pas né
Me renseignait sur une liberté passé
Où les gens ressortaient cassés
Une prison, le soir du réveillon
Ne ressemble pas à un beau salon
Les amis sont assis derrière ceci
Des portes grillagées et forgées, mais si
Pour une fois quelques guirlandes
Nous soient données en offrandes
J'entends un pas, le père Nöel arrive
Sous les traits d'un vieux gardien qui dérive
Il n'a point de hotte
Mais qu'importe
Donnez moi une bonne raclée
En échange d'une clé
Fabulle 28/12/2007
La lune me regardait d'un oeil mauvais
Et entre les barreaux, je suis arrivé
Un vieux journal prêt à être recyclé
Daté d'une époque où je n'était pas né
Me renseignait sur une liberté passé
Où les gens ressortaient cassés
Une prison, le soir du réveillon
Ne ressemble pas à un beau salon
Les amis sont assis derrière ceci
Des portes grillagées et forgées, mais si
Pour une fois quelques guirlandes
Nous soient données en offrandes
J'entends un pas, le père Nöel arrive
Sous les traits d'un vieux gardien qui dérive
Il n'a point de hotte
Mais qu'importe
Donnez moi une bonne raclée
En échange d'une clé
Fabulle 28/12/2007
mercredi 19 décembre 2007
Narien
Penser que personne ne sait rien
Des trames dans son dos
Qu'un homme appelé Narien
Dirige le monde contre son dos
Un homme méconnu
Méritant à être connu
Comme si un inconnu
Tout à coup soit reconnu
Les lucioles ne peuvent rien
Contre ses hommes arrogants
Qui ne tente rien, Narien
Enfilons donc nos gants
Que le froid et l'hiver passe
Pour que l'ennemi trépasse.
Fabulle 19/12/07
Des trames dans son dos
Qu'un homme appelé Narien
Dirige le monde contre son dos
Un homme méconnu
Méritant à être connu
Comme si un inconnu
Tout à coup soit reconnu
Les lucioles ne peuvent rien
Contre ses hommes arrogants
Qui ne tente rien, Narien
Enfilons donc nos gants
Que le froid et l'hiver passe
Pour que l'ennemi trépasse.
Fabulle 19/12/07
Lumières insignifiantes
Ses lumières insignifiantes
Occupent tout mon esprit
Des êtres de plus en plus méfiants
Je n'ai vraiment rien compris
Rien compris de la Terre
Des rivalités rivales
Des êtres chers
Devenus de plus en plus pâles
Des rues noires même le jour
Des lanternes restaient allumés
Des lucioles pleines d'amour
Les humains se sont enfumés.
Fabulle 14/12/07
Occupent tout mon esprit
Des êtres de plus en plus méfiants
Je n'ai vraiment rien compris
Rien compris de la Terre
Des rivalités rivales
Des êtres chers
Devenus de plus en plus pâles
Des rues noires même le jour
Des lanternes restaient allumés
Des lucioles pleines d'amour
Les humains se sont enfumés.
Fabulle 14/12/07
Vivre sans Eve
Après un verre de vitamines
Je me glisse dans mon lit
Un rêve m'envahit
Le monde est en ruines
Un songe devenu cauchemar
Je me réveille en sursaut
Je me traite de sot
Arrêtez, j'en ai marre !
Je sors, respire pour de bon
Compose des alexandrins
Vivre, faire de nouveaux bonds
Je fais un autre rêve
Rêve confus et étrange
Qu'il n'y eut jamais d'Eve.
Fabulle 14/12/07
Je me glisse dans mon lit
Un rêve m'envahit
Le monde est en ruines
Un songe devenu cauchemar
Je me réveille en sursaut
Je me traite de sot
Arrêtez, j'en ai marre !
Je sors, respire pour de bon
Compose des alexandrins
Vivre, faire de nouveaux bonds
Je fais un autre rêve
Rêve confus et étrange
Qu'il n'y eut jamais d'Eve.
Fabulle 14/12/07
samedi 17 novembre 2007
Une vie infernal
Il me semble ne plus tenir
Cette vie infernal
J'aimerais vivre, rajeunir
Reprendre la route du canal
J'aimerais changer de vie
M'allonger, m'installer, ne plus bouger
Demander l'avis de mes amis
Ne plus vivre cette nostalgie enragée
Pourquoi je ne peux plus suivre
Ce fil terni de cuivre?
Fabulle 16/11/2007
Cette vie infernal
J'aimerais vivre, rajeunir
Reprendre la route du canal
J'aimerais changer de vie
M'allonger, m'installer, ne plus bouger
Demander l'avis de mes amis
Ne plus vivre cette nostalgie enragée
Pourquoi je ne peux plus suivre
Ce fil terni de cuivre?
Fabulle 16/11/2007
Haïkulumière
Surlignez ce qui suit pour voir le haïku
Derrière ce paravent
Une lumière éblouissante
Ombre chinoise
Fabulle 16/11/2007
Derrière ce paravent
Une lumière éblouissante
Ombre chinoise
Fabulle 16/11/2007
Une lettre enlevée
Cher T.S.F
Notre monde meurt comme un feu. Tel les personnes qui luttent en l'espoir d'un monde meilleur. Nous ne réussiront point. Mon univers s'écroule comme une forteresse qui tombe sous le joug de l'ennemi. Les murs tombent , les pièces choient. Il me semble ne plus tenir cette vie difficile. Cette existence est pénible et bref. Je suis fort d'esprit, même si mon corps ne suit plus. Dîtes, ne sentez vous guère le souffle de destruction qui sillonne notre bonne vieille Terre ? Moi, si. L'enfer n'est plus loin, c'est fini. Tous les mots n'ont plus de sens. Les ondes qui sortent de cette bouche qui n'est plus mienne sont incompréhensible. Mes devoirs, je ne les respecte plus. Personne ne les respectent. Qu'est ce que les droits et les devoirs ? Hier, ils furent expliqués et respectés. Imbéciles lois qui pourriront sous les décombres de notre cité. Cette fin du monde où il ne reste rien de ce peuple empirique. Le pouvoir semble être le mot d'ordre de cette société. Oui, je cris, je hurle vers cette mort. Ce qu'il me reste en temps, je l'utilise. J'écris ce que nous ressentons. Ils ont supprimés cette première lettre de ces vingt-six. Plus de début, plus de présent. Il ne nous reste plus qu'un futur : des morts.
F.bulle seize novembre deux mil sept
Notre monde meurt comme un feu. Tel les personnes qui luttent en l'espoir d'un monde meilleur. Nous ne réussiront point. Mon univers s'écroule comme une forteresse qui tombe sous le joug de l'ennemi. Les murs tombent , les pièces choient. Il me semble ne plus tenir cette vie difficile. Cette existence est pénible et bref. Je suis fort d'esprit, même si mon corps ne suit plus. Dîtes, ne sentez vous guère le souffle de destruction qui sillonne notre bonne vieille Terre ? Moi, si. L'enfer n'est plus loin, c'est fini. Tous les mots n'ont plus de sens. Les ondes qui sortent de cette bouche qui n'est plus mienne sont incompréhensible. Mes devoirs, je ne les respecte plus. Personne ne les respectent. Qu'est ce que les droits et les devoirs ? Hier, ils furent expliqués et respectés. Imbéciles lois qui pourriront sous les décombres de notre cité. Cette fin du monde où il ne reste rien de ce peuple empirique. Le pouvoir semble être le mot d'ordre de cette société. Oui, je cris, je hurle vers cette mort. Ce qu'il me reste en temps, je l'utilise. J'écris ce que nous ressentons. Ils ont supprimés cette première lettre de ces vingt-six. Plus de début, plus de présent. Il ne nous reste plus qu'un futur : des morts.
F.bulle seize novembre deux mil sept
Sans ça
Ô romain, un post-gallo-romain voudrait haïr vos habitants pour la raison qu'il y a pas mal d'ans, vos constructions ont un droit à la nation, mais nous pas un droit. Nothing !
Çà , j'irai vous haïr sur nos toits. Compris ? Il y a un mois, j'usurpais nos "rois". Mon but fut court mais nous vantons nos pays unis dans la paix. Vous, contrôlant tout un bassin. Moi, un grand pays souffrant. Avant, un latin parlait latin. Aujourd'hui, nous parlions tous anglais. Pourquoi ? Sais pas !
Vingt dollars pour un pain, voici la faim ! J'usurpais, alors travaillons !
Fabull. 16/11/2007
Çà , j'irai vous haïr sur nos toits. Compris ? Il y a un mois, j'usurpais nos "rois". Mon but fut court mais nous vantons nos pays unis dans la paix. Vous, contrôlant tout un bassin. Moi, un grand pays souffrant. Avant, un latin parlait latin. Aujourd'hui, nous parlions tous anglais. Pourquoi ? Sais pas !
Vingt dollars pour un pain, voici la faim ! J'usurpais, alors travaillons !
Fabull. 16/11/2007
mardi 13 novembre 2007
Une prophétie
Des frissons m'entourent
Hululent les hiboux
Un clair de lune en plein jour
Une vielle prophétie d'un marabout
Une histoire de vie et de mort
Qui parle toujours de même choses
L'argent et les trésors
Ou d'histoires à l'eau de rose
Personne ne parle des vertus
Des hommes inconnus
Qui par la force du regard, tuent
Héros d'une prophétie
Cela ne sonne pas bien
Je suis juste un homme indécis.
Fabulle 13/11/2007
Hululent les hiboux
Un clair de lune en plein jour
Une vielle prophétie d'un marabout
Une histoire de vie et de mort
Qui parle toujours de même choses
L'argent et les trésors
Ou d'histoires à l'eau de rose
Personne ne parle des vertus
Des hommes inconnus
Qui par la force du regard, tuent
Héros d'une prophétie
Cela ne sonne pas bien
Je suis juste un homme indécis.
Fabulle 13/11/2007
mercredi 3 octobre 2007
Dans ces cahiers
Dans ces cahiers reposent ma vie
Dans ces cahiers reposent mes écrits
Tout une vie parsemée d'idées
A rechercher, trouver, se vider
Une vie de déboires et de joie
Songeant au Capitole, à ses oies
Ou encore aux mythes oubliés
Ou à ses personnes qui ont trop crié
Une vie solitaire dans l'inconnu
Dans le but d'une oeuvre reconnu
Que ses pages biscornues
Soit lus et relus
Fabulle 01/10/2007
Dans ces cahiers reposent mes écrits
Tout une vie parsemée d'idées
A rechercher, trouver, se vider
Une vie de déboires et de joie
Songeant au Capitole, à ses oies
Ou encore aux mythes oubliés
Ou à ses personnes qui ont trop crié
Une vie solitaire dans l'inconnu
Dans le but d'une oeuvre reconnu
Que ses pages biscornues
Soit lus et relus
Fabulle 01/10/2007
Dernier jour
Le dernier jour du mois
Jour triste et pluvieux
La destruction du moi
Ce que je suis vieux !
Le dernier jour de l'année
Jour nostalgique et enneigé
Grand-père d'un nouveau né
Je me sens tout léger
Le dernier jour d'une décennie
Jour joyeux, ensoleillée
Rejoindre ces jolies colonies
Pour que ne finissent ces veillées
Le dernier jour d'une vie
Jour émouvant
Enfin je suis ravi
Ma vie, un sable mouvant
Fabulle 01/10/2007
Jour triste et pluvieux
La destruction du moi
Ce que je suis vieux !
Le dernier jour de l'année
Jour nostalgique et enneigé
Grand-père d'un nouveau né
Je me sens tout léger
Le dernier jour d'une décennie
Jour joyeux, ensoleillée
Rejoindre ces jolies colonies
Pour que ne finissent ces veillées
Le dernier jour d'une vie
Jour émouvant
Enfin je suis ravi
Ma vie, un sable mouvant
Fabulle 01/10/2007
vendredi 28 septembre 2007
La chasse de la luciole
Des nuages gris me poursuivent
Ma vie pour une fiole
Une fuite craintive
La chasse de la luciole
J'avais volé une maison
Puis deux, puis trois
Au changement de saison
J'étais sa nouvelle proie
Dans cette course effréné
La refléction unique d'ue vie
Puisque je suis né
Je ne lui donnerai pas ma vie
Fabulle 28/09/2007 (Pour la suite, vous connaissez la luciole)
Ma vie pour une fiole
Une fuite craintive
La chasse de la luciole
J'avais volé une maison
Puis deux, puis trois
Au changement de saison
J'étais sa nouvelle proie
Dans cette course effréné
La refléction unique d'ue vie
Puisque je suis né
Je ne lui donnerai pas ma vie
Fabulle 28/09/2007 (Pour la suite, vous connaissez la luciole)
Des bruits
Des bruits venus d'un autre monde
Entendus sur un vieux port
Bruit pur sortie de l'onde
Qui dessine mon pauvre sort
Des bruits venus du nouveau froid
Entendus par un vieux monsieur
Bruit triste qu'émet un roi
Qui désigne la fin des cieux
Des bruits venus de la mélancolie
Entendus par tous pays
Bruit sourd qui nous lie
Qui se répèté à l'infini
Fabulle 28/09/2007
Entendus sur un vieux port
Bruit pur sortie de l'onde
Qui dessine mon pauvre sort
Des bruits venus du nouveau froid
Entendus par un vieux monsieur
Bruit triste qu'émet un roi
Qui désigne la fin des cieux
Des bruits venus de la mélancolie
Entendus par tous pays
Bruit sourd qui nous lie
Qui se répèté à l'infini
Fabulle 28/09/2007
samedi 22 septembre 2007
mercredi 29 août 2007
Le crépuscule
Assis sur une vielle balançoire
Dans un parc abandonné
Bientôt, le soleil deviendra noir
Comme moi, j'ai tout donné.
Soudain, le ciel devient rougeâtre
Le soleil brille de mille feux
Mon bras! Mon plâtre!
Je vous en supplie! Cessez-le-feu!
Je me sens tiraillé entre deux mondes
Lequel ? Mon dessein choisira
Mon esprit me sonde
Et il sait comment cela se passera.
Mais je n'ai pas envie de voir la vérité
Juste regarder le crépuscule
Qui me donne toute sa bonté
Et m'enlève tous mes scrupules.
Fabulle
Dans un parc abandonné
Bientôt, le soleil deviendra noir
Comme moi, j'ai tout donné.
Soudain, le ciel devient rougeâtre
Le soleil brille de mille feux
Mon bras! Mon plâtre!
Je vous en supplie! Cessez-le-feu!
Je me sens tiraillé entre deux mondes
Lequel ? Mon dessein choisira
Mon esprit me sonde
Et il sait comment cela se passera.
Mais je n'ai pas envie de voir la vérité
Juste regarder le crépuscule
Qui me donne toute sa bonté
Et m'enlève tous mes scrupules.
Fabulle
Le secret de Dame Nature
Ou La magie des textes
Je ne sais par quelle magie
La vie a été crée . . .
Le secret de Dame Nature agit
Et il est loin d'être révélé.
Ces choses dépassent les hommes
Les religions ne sont qu'un prétexte,
On oublie, les mémoires se gomment
Obligé de préserver des textes.
Certains, oeuvres d'une vie
D'autres, plus banals
Traces de toutes vies
Conservées dans de vielles malles
Fabulle
Je ne sais par quelle magie
La vie a été crée . . .
Le secret de Dame Nature agit
Et il est loin d'être révélé.
Ces choses dépassent les hommes
Les religions ne sont qu'un prétexte,
On oublie, les mémoires se gomment
Obligé de préserver des textes.
Certains, oeuvres d'une vie
D'autres, plus banals
Traces de toutes vies
Conservées dans de vielles malles
Fabulle
mardi 21 août 2007
Tempète cruelle
Une vague de dix mètres
Un bateau dans son creux
Les marins, leur raison d'être
Vivre avec la mer, heureux
Mais les éléments sont cruels
Le capitaine manoeuvre
On vit sans querelles
Et vit sur notre chef d'oeuvre
Un bateau venu du coeur
Par une bande de copains
Construits en de nombreuses heures
On se destinait marins
On va mourir
S'écrie un moussaillon
Pas peur de périr
J'ai mon médaillon
Fabulle
Un bateau dans son creux
Les marins, leur raison d'être
Vivre avec la mer, heureux
Mais les éléments sont cruels
Le capitaine manoeuvre
On vit sans querelles
Et vit sur notre chef d'oeuvre
Un bateau venu du coeur
Par une bande de copains
Construits en de nombreuses heures
On se destinait marins
On va mourir
S'écrie un moussaillon
Pas peur de périr
J'ai mon médaillon
Fabulle
mercredi 15 août 2007
Mystères du monde
C'est à la lueur de la lune
Que j'écris ces quelques mots
Une traduction de runes
Un mystère tel le capitaine Nemo
J'imagine devant moi l'Atlantide
Ou encore quelques trésors
Enfouie sous des rapides
Et moi, couvert d'or
Ces runes emmenait vers Excalibur
Une épée dans un rocher
Moi, prochain roi Arthur
Aux cotés de mille archer
Fabulle
Que j'écris ces quelques mots
Une traduction de runes
Un mystère tel le capitaine Nemo
J'imagine devant moi l'Atlantide
Ou encore quelques trésors
Enfouie sous des rapides
Et moi, couvert d'or
Ces runes emmenait vers Excalibur
Une épée dans un rocher
Moi, prochain roi Arthur
Aux cotés de mille archer
Fabulle
lundi 13 août 2007
Le retour de la luciole
Je ne dors pas tranquille
Mes rêves sont cauchemars
Des Vikings qui me pillent
Des cadavres dans des mares
Ma conscience s'éveille
Une lueur dans le noir
Un ami qui me veille
Non, moi, dans un miroir
Cette lueur, elle voltige
Un acrobate de cirque
J'applaudis, je me fige
En statue, drôle de mimique
C'était une luciole magique
Elle m'a changé en granit
On m'a enterré, c'est tragique
L'éternité, qu'est ce que vous en dîtes?
Fabulle
Mes rêves sont cauchemars
Des Vikings qui me pillent
Des cadavres dans des mares
Ma conscience s'éveille
Une lueur dans le noir
Un ami qui me veille
Non, moi, dans un miroir
Cette lueur, elle voltige
Un acrobate de cirque
J'applaudis, je me fige
En statue, drôle de mimique
C'était une luciole magique
Elle m'a changé en granit
On m'a enterré, c'est tragique
L'éternité, qu'est ce que vous en dîtes?
Fabulle
samedi 4 août 2007
Gamme
Do, ça fait mal
Ré et Mi manquent d'amis
Fa, pour moi, c'est bien
Sol, je n'aime pas la quitter
La, mais quoi?
Si, une condition impossible
Fabulle alias Fabien Corbel
Ré et Mi manquent d'amis
Fa, pour moi, c'est bien
Sol, je n'aime pas la quitter
La, mais quoi?
Si, une condition impossible
Fabulle alias Fabien Corbel
Psychologie humaine
On laisse à l'abandon notre Terre.
On épuise ses réserves
On espère
On est pire qu'une boite de conserve.
On s'enferme dans nos chambres
Ecoutant de la musique dramatique
Entre quatre murs couleur ambre
Rêvant d'un autre monde mythique.
Pourquoi ce monde déprime?
On rêve d'un monde joyeux,
Un paradis qu'on imprime
Plus vieux que nos aïeux.
Ras-le-bol?
Non, humain
Quitter ce sol
Demain.
Fabulle
On épuise ses réserves
On espère
On est pire qu'une boite de conserve.
On s'enferme dans nos chambres
Ecoutant de la musique dramatique
Entre quatre murs couleur ambre
Rêvant d'un autre monde mythique.
Pourquoi ce monde déprime?
On rêve d'un monde joyeux,
Un paradis qu'on imprime
Plus vieux que nos aïeux.
Ras-le-bol?
Non, humain
Quitter ce sol
Demain.
Fabulle
Plus que seul
Ça faisait longtemps mais vacances obligent.
Je ne suis qu'un pauvre français
Qui cherchait à visiter quelques villes,
Je n'avais qu'un jean tout rapiécé
Et pour seul maison, une île.
Sur un coup de tête, je suis parti,
J'ai acheté un petit bateau,
Mes économies toutes parties,
Vendu, ma petite moto.
Ma destination : New York,
J'espérais y retrouver le fil de ma vie,
Le bateau se retourna quand je vis un orque,
Mais je ne pensais plus à lui, mais à ma survie.
J'échouais sur une île, seul,
Plus que seul.
Fabulle
Je ne suis qu'un pauvre français
Qui cherchait à visiter quelques villes,
Je n'avais qu'un jean tout rapiécé
Et pour seul maison, une île.
Sur un coup de tête, je suis parti,
J'ai acheté un petit bateau,
Mes économies toutes parties,
Vendu, ma petite moto.
Ma destination : New York,
J'espérais y retrouver le fil de ma vie,
Le bateau se retourna quand je vis un orque,
Mais je ne pensais plus à lui, mais à ma survie.
J'échouais sur une île, seul,
Plus que seul.
Fabulle
lundi 2 juillet 2007
Le jour le plus noir
Un instant volé à la réalité,
Enfermé dans les mémoires
Grâce à un engin appelé télé,
Un jour triste, un jour très noir.
Deux tours sont tombés,
Les flashs sont apparus,
Supprimant les dessins animés
Des télés, comptant les disparus.
On revoyaient les mêmes images,
New York effondré,
On a écrit beaucoup de pages,
Mais le lendemain, tout le monde s'en fichait.
Enfermé dans les mémoires
Grâce à un engin appelé télé,
Un jour triste, un jour très noir.
Deux tours sont tombés,
Les flashs sont apparus,
Supprimant les dessins animés
Des télés, comptant les disparus.
On revoyaient les mêmes images,
New York effondré,
On a écrit beaucoup de pages,
Mais le lendemain, tout le monde s'en fichait.
Sous un masque
On se cache sous un masque,
Pour éviter qu'on ne se voit réellement,
Ému par la beauté d'une vasque,
Par l'indifférence, on cache nos sentiments.
Quelques initiés n'exerce pas cette formalité,
Je n'en connais que très peu,
Même moi, je me résous à cette fatalité.
Pourquoi montrer nos émotions?
Aucune idée, c'est une habitude
Comme si on suivait une partition
Écrite par ce monde, par son prélude.
Pour éviter qu'on ne se voit réellement,
Ému par la beauté d'une vasque,
Par l'indifférence, on cache nos sentiments.
Quelques initiés n'exerce pas cette formalité,
Je n'en connais que très peu,
Même moi, je me résous à cette fatalité.
Pourquoi montrer nos émotions?
Aucune idée, c'est une habitude
Comme si on suivait une partition
Écrite par ce monde, par son prélude.
dimanche 17 juin 2007
Une frêle jonque
Dans les eaux inexplorées de Chine
Vogue une frêle jonque,
Tel une esquisse faite à l'encre de Chine,
Elle part à la quête d'une conque.
Ses ivres marins ont perdu la tête,
Un philosophe ne pourrait le réfuter,
Mais moi, je dis, au nom des poètes,
Ils ne sont pas ivres, mais futés.
Ils ont dédié leurs vies pour ce but,
Car qu'est-ce le rôle de notre vie?
Les souffrances endurées pour une lutte,
Ou la recherche d'une chose et c'est fini.
Dans les mers inexplorées de Chine
Voguait une frêle jonque,
Tel une esquisse faite à l'encre de Chine,
Elle partait à la quête d'une conque.
Vogue une frêle jonque,
Tel une esquisse faite à l'encre de Chine,
Elle part à la quête d'une conque.
Ses ivres marins ont perdu la tête,
Un philosophe ne pourrait le réfuter,
Mais moi, je dis, au nom des poètes,
Ils ne sont pas ivres, mais futés.
Ils ont dédié leurs vies pour ce but,
Car qu'est-ce le rôle de notre vie?
Les souffrances endurées pour une lutte,
Ou la recherche d'une chose et c'est fini.
Dans les mers inexplorées de Chine
Voguait une frêle jonque,
Tel une esquisse faite à l'encre de Chine,
Elle partait à la quête d'une conque.
mercredi 6 juin 2007
Pas de bus!
Le réveil indique sept heures et demi. L’heure du retour à la réalité. Je déteste les matins. Pourquoi sont-ils cruels et toujours les mêmes ? Je prends une douche, m’habille et déjeune. Malheureusement, je n’échappe pas aux quolibets de mon père. Brosse à dents, peigne et produits visant à détruire l’acné de mon visage et je suis prêt à partir. Je me glisse dans l’entrebâillement de la porte pour découvrir le froid qui tentait vainement d’attaquer mon visage.
Après plusieurs mètres parcourus péniblement, j’arrive à la cabine mansardée servant d’abri ou de salle d’attente pour bus. Par contre, il n’y avait pas de magazines. Mes pensées vagabondaient mais elle revenaient sans cesse sur mon père. Ma mère, ayant disparu à l’âge de mes deux ans, était le sujet d’inquiétude de mon père qui me prend donc sous sa garde. Nos relations étaient ambiguës. Nous vivions seuls dans la campagne pittoresque dont le premier village se trouve à sept kilomètres.
Rien, pas de bus après quarante minutes d’attente. Il faisait froid et mes jambes grelottaient. Je réfléchis. Je décide de retourner chez moi sachant que je ne pourrai pas rentrer à l’intérieur, mon père étant parti. Le froid s’intensifiait. Je fais une minutieuse observation pour découvrir si une fenêtre ou une porte était mal fermé mais sans obtenir de résultat. Il n’y a pas eu d’événements majeurs pendant quatre heures ou sinon rien.
Mes mains étaient gelées et je n’arrive à marcher que très difficilement. Mais le sort en décida autrement et mes jambes m’amènent vers un coin où les mauvaises herbes avaient envahi le territoire. Et mon regard s’abaisse sur une tombe, une tombe en morceaux ! Respirer m’était presque impossible et malgré mon manque de courage évident, je m’approche de celle-ci. Je lis : « Jacques Daquart 18 », l’autre partie effacée. Soudain, une apparition blanche sort de la tombe et me regarde vivement. L’apparition ressemblait à un homme âgé de quatre vingt ans. Mes yeux paraissaient sortir de leurs orbites. Je m’évanouis.
Noir, du noir, que du noir.
Je me réveille voyant une pièce aux murs blancs. A peine ai-je le temps de reprendre mes esprits qu’un homme portant une blouse blanche vient vers moi :
« - Tu es dans un hôpital, ne t’inquiète pas,
- Comment je suis arrivé ici ? Et l’apparition ? dis je
- Ton père t’y a amené mais de quel apparition parles tu ?
- Chez moi, là-bas dans le jardin. Jacques Dacquart.
- Hum, c’est ça, dit le docteur en réfléchissant. »
J’en avais trop dit. Je n’ai pas revu mon père. Je leur ai parlé de la tombe et de l’endroit où je l’avais trouvé mais ils avait déjà vérifié et n’on rien trouvé. On m’a interné dans un autre hôpital. Psychiatrique, celui-ci. Mais une question me reste sans réponse : Suis-je fou ?
Après plusieurs mètres parcourus péniblement, j’arrive à la cabine mansardée servant d’abri ou de salle d’attente pour bus. Par contre, il n’y avait pas de magazines. Mes pensées vagabondaient mais elle revenaient sans cesse sur mon père. Ma mère, ayant disparu à l’âge de mes deux ans, était le sujet d’inquiétude de mon père qui me prend donc sous sa garde. Nos relations étaient ambiguës. Nous vivions seuls dans la campagne pittoresque dont le premier village se trouve à sept kilomètres.
Rien, pas de bus après quarante minutes d’attente. Il faisait froid et mes jambes grelottaient. Je réfléchis. Je décide de retourner chez moi sachant que je ne pourrai pas rentrer à l’intérieur, mon père étant parti. Le froid s’intensifiait. Je fais une minutieuse observation pour découvrir si une fenêtre ou une porte était mal fermé mais sans obtenir de résultat. Il n’y a pas eu d’événements majeurs pendant quatre heures ou sinon rien.
Mes mains étaient gelées et je n’arrive à marcher que très difficilement. Mais le sort en décida autrement et mes jambes m’amènent vers un coin où les mauvaises herbes avaient envahi le territoire. Et mon regard s’abaisse sur une tombe, une tombe en morceaux ! Respirer m’était presque impossible et malgré mon manque de courage évident, je m’approche de celle-ci. Je lis : « Jacques Daquart 18 », l’autre partie effacée. Soudain, une apparition blanche sort de la tombe et me regarde vivement. L’apparition ressemblait à un homme âgé de quatre vingt ans. Mes yeux paraissaient sortir de leurs orbites. Je m’évanouis.
Noir, du noir, que du noir.
Je me réveille voyant une pièce aux murs blancs. A peine ai-je le temps de reprendre mes esprits qu’un homme portant une blouse blanche vient vers moi :
« - Tu es dans un hôpital, ne t’inquiète pas,
- Comment je suis arrivé ici ? Et l’apparition ? dis je
- Ton père t’y a amené mais de quel apparition parles tu ?
- Chez moi, là-bas dans le jardin. Jacques Dacquart.
- Hum, c’est ça, dit le docteur en réfléchissant. »
J’en avais trop dit. Je n’ai pas revu mon père. Je leur ai parlé de la tombe et de l’endroit où je l’avais trouvé mais ils avait déjà vérifié et n’on rien trouvé. On m’a interné dans un autre hôpital. Psychiatrique, celui-ci. Mais une question me reste sans réponse : Suis-je fou ?
Fabulle
dimanche 20 mai 2007
D'autres haïkus
La lumière jaillit du ciel Mes yeux sont éblouis L'éclair abat un chêne. Triste journée Là-bas, au fond du jardin On vient d'enterrer mon chien. | |
mercredi 16 mai 2007
Sensation humide à l'aurore
La pluie tombe sur les toits, dehors,
Et les gouttes tombent d'un bruit fort,
Peut-être est-ce l'ironie du sort,
Mais je veux voir cette pluie d'or.
Je m'apprête à sortir, or,
"Tu vas avoir la crève si tu sors"
Lance ma mère avec désaccord.
C'est là que je lui explique qu'elle a tort.
Les hommes ont peur des maladies qui mènent à la mort,
Mais les hommes travaillent sous la pluie dans les ports,
Et ils partent même braver la mer à l'aurore.
Je suis humain et j'aime sentir mon corps,
Sentir mes dents couper la viande de porc,
Avoir des frissons face aux carnivores,
Voir les éléments qui se déchaînent, j'adore.
Je sors donc voir un autre décor,
Et je remarque, c'est plus beau que l'or.
Et les gouttes tombent d'un bruit fort,
Peut-être est-ce l'ironie du sort,
Mais je veux voir cette pluie d'or.
Je m'apprête à sortir, or,
"Tu vas avoir la crève si tu sors"
Lance ma mère avec désaccord.
C'est là que je lui explique qu'elle a tort.
Les hommes ont peur des maladies qui mènent à la mort,
Mais les hommes travaillent sous la pluie dans les ports,
Et ils partent même braver la mer à l'aurore.
Je suis humain et j'aime sentir mon corps,
Sentir mes dents couper la viande de porc,
Avoir des frissons face aux carnivores,
Voir les éléments qui se déchaînent, j'adore.
Je sors donc voir un autre décor,
Et je remarque, c'est plus beau que l'or.
vendredi 4 mai 2007
vendredi 27 avril 2007
jeudi 26 avril 2007
La luciole de la noirceur
Au plus profond de la noirceur,
Il existe une petite luciole,
Qui émet une faible lueur,
Et toutes les lois, elle les viole.
Elle peut représenter l'espoir,
De ne pas penser à tous ces dollars,
Qui sont gâchés pour de l'or noir.
Ou alors, elle nous lance un regard,
Sur nous les hommes, fléau de ce monde,
Même si l'on peut rendre la Terre féconde.
L'histoire ne nous raconte pas la vie de la luciole,
Mais aucun homme ne l'avait approché,
Une créature maléfique l'enferma dans une fiole,
De peur qu'un humain la cherche, et qu'il soit recherché.
Fabulle 26/04/07
Il existe une petite luciole,
Qui émet une faible lueur,
Et toutes les lois, elle les viole.
Elle peut représenter l'espoir,
De ne pas penser à tous ces dollars,
Qui sont gâchés pour de l'or noir.
Ou alors, elle nous lance un regard,
Sur nous les hommes, fléau de ce monde,
Même si l'on peut rendre la Terre féconde.
L'histoire ne nous raconte pas la vie de la luciole,
Mais aucun homme ne l'avait approché,
Une créature maléfique l'enferma dans une fiole,
De peur qu'un humain la cherche, et qu'il soit recherché.
Fabulle 26/04/07
Notre ennemi est invisible
Notre ennemi est omniprésent,
L'Homme le combat incessamment.
Mais c'est un ennemi invisible auquel on se bat,
C'est pour cela qu'il nous abat.
Il a plusieurs noms bien différents,
Die Zeit, the time, el tiempo, le temps.
Il est le commencement et la fin,
Il traverse le monde sans fin.
Passé, présent, futur,
Il gouverne avec désinvolture,
On ne le voit pas passer,
Qu'on se retrouve vite enterrer.
Profitez de la vie! Carpe diem!
Moi, je sais qui j'aime,
Ma famille, mes proches et mes amis,
Je ne regretterai rien quand ça sera fini.
Fabulle 20/04/07
L'Homme le combat incessamment.
Mais c'est un ennemi invisible auquel on se bat,
C'est pour cela qu'il nous abat.
Il a plusieurs noms bien différents,
Die Zeit, the time, el tiempo, le temps.
Il est le commencement et la fin,
Il traverse le monde sans fin.
Passé, présent, futur,
Il gouverne avec désinvolture,
On ne le voit pas passer,
Qu'on se retrouve vite enterrer.
Profitez de la vie! Carpe diem!
Moi, je sais qui j'aime,
Ma famille, mes proches et mes amis,
Je ne regretterai rien quand ça sera fini.
Fabulle 20/04/07
jeudi 5 avril 2007
Imagination en alexandrins
Pour moi, l'imagination est un autre monde,
Il suffit de s'y plonger profondément
En écoutant ce qui passe sur les ondes
On peut s'évader, quitter ce monde dément.
On imagine ce que l'on veut, milliardaire
Tout en sachant, l'argent ne fait pas le bonheur,
Aucune heure fixe, pas de retardataire,
On se sent bien dans sa peau, un réel honneur,
C'est dans ces instants qu'on ne se souvient de rien,
On oublie nos petits tracas, nos soucis,
Pour se plonger dans cet univers, peur de rien,
Le monde parfait, un petit peu radouci.
Un petit conseil avant de vous en aller,
Ne rester pas trop longtemps sans y remonter,
Car je connais des gens qui se laissent aller,
Bonne route, j'espère de vous rencontrer.
Fabulle
Il suffit de s'y plonger profondément
En écoutant ce qui passe sur les ondes
On peut s'évader, quitter ce monde dément.
On imagine ce que l'on veut, milliardaire
Tout en sachant, l'argent ne fait pas le bonheur,
Aucune heure fixe, pas de retardataire,
On se sent bien dans sa peau, un réel honneur,
C'est dans ces instants qu'on ne se souvient de rien,
On oublie nos petits tracas, nos soucis,
Pour se plonger dans cet univers, peur de rien,
Le monde parfait, un petit peu radouci.
Un petit conseil avant de vous en aller,
Ne rester pas trop longtemps sans y remonter,
Car je connais des gens qui se laissent aller,
Bonne route, j'espère de vous rencontrer.
Fabulle
lundi 26 mars 2007
Musique celtique, monde féerique
Quand on écoute de la musique celtique,
C'est bien plus qu'un air qu'on entend
Cela nous plonge dans un autre monde féerique
Là où l'on est bien, où c'est toujours le printemps.
Dans ce monde, remplis de dolmens,
Où les druides enseignent leur sagesse,
On peut s'évader, les chênes sont sans haine
Cette terre nous enlève notre détresse.
De ce monde magique, je sors
On se sent tout drôle, mélancolique,
On s'acharne sur nous, sur notre sort,
On se sent bête, pathétique.
C'est un de ces effets secondaires
Qui nous fait réfléchir sur notre monde
Ce que va devenir notre bonne vieille Terre,
En attendant, dansons et faisons une ronde.
Fabulle 24/03/2007
C'est bien plus qu'un air qu'on entend
Cela nous plonge dans un autre monde féerique
Là où l'on est bien, où c'est toujours le printemps.
Dans ce monde, remplis de dolmens,
Où les druides enseignent leur sagesse,
On peut s'évader, les chênes sont sans haine
Cette terre nous enlève notre détresse.
De ce monde magique, je sors
On se sent tout drôle, mélancolique,
On s'acharne sur nous, sur notre sort,
On se sent bête, pathétique.
C'est un de ces effets secondaires
Qui nous fait réfléchir sur notre monde
Ce que va devenir notre bonne vieille Terre,
En attendant, dansons et faisons une ronde.
Fabulle 24/03/2007
mercredi 14 février 2007
Vieil homme, mort sur un lit d'hôpital
Tout homme meurt,
Aujourd'hui, c'est mon jour,
Allongé dans ce lit, je pleure,
Enfermé dans cet hôpital depuis dix-huit jours.
Personne ne sais ce que j'ai,
Personne pour se soucier de mon sort,
La petite boutique que j'avais,
Se sentira seul sans mon corps.
Les médecins, aux mines désolées,
M'annonce que je vais mourir,
Ça, je le savais,
Il n'y a plus qu'à en finir.
Juste une dernière volonté,
Avant de rejoindre ses chers morts,
Souaitée à cette vielle Terre ratée,
De ne pas s'encombrer du mauvais sort.
Fabulle
Aujourd'hui, c'est mon jour,
Allongé dans ce lit, je pleure,
Enfermé dans cet hôpital depuis dix-huit jours.
Personne ne sais ce que j'ai,
Personne pour se soucier de mon sort,
La petite boutique que j'avais,
Se sentira seul sans mon corps.
Les médecins, aux mines désolées,
M'annonce que je vais mourir,
Ça, je le savais,
Il n'y a plus qu'à en finir.
Juste une dernière volonté,
Avant de rejoindre ses chers morts,
Souaitée à cette vielle Terre ratée,
De ne pas s'encombrer du mauvais sort.
Fabulle
dimanche 11 février 2007
Des pauvres à Paris
C'est le troisième depuis janvier,
Il est mort de froid,
Il était tombé à mes cotés,
J'espère loin, le jour où ce sera moi.
On ne vit de pas grand chose
Dans les quartiers de Paris,
On regarde les bouquets de roses,
Sortir des grandes épiceries.
Des gens passent, sans nous regarder,
D'autres nous donnent un peu d'argent,
En tout cas, ceux qui ne savent qu'ignorer,
Je leur dis que ça peut leur arriver dans peu de temps.
On souffre de froid, de faim,
Des cartons, il faut habiter,
Je sais que moi et mes copains,
On ne pourra, bientôt, que succomber.
Fabulle
Il est mort de froid,
Il était tombé à mes cotés,
J'espère loin, le jour où ce sera moi.
On ne vit de pas grand chose
Dans les quartiers de Paris,
On regarde les bouquets de roses,
Sortir des grandes épiceries.
Des gens passent, sans nous regarder,
D'autres nous donnent un peu d'argent,
En tout cas, ceux qui ne savent qu'ignorer,
Je leur dis que ça peut leur arriver dans peu de temps.
On souffre de froid, de faim,
Des cartons, il faut habiter,
Je sais que moi et mes copains,
On ne pourra, bientôt, que succomber.
Fabulle
vendredi 9 février 2007
Mort, un soir d'hiver en Arctique
Les degrès ne cessent de baisser,
Dans l'Artique, un soir d'hiver;
Je pense que j'en ai assez.
J'enfile mon polaire vert.
Puis je sors de ma tente ,
Je jette les grosses couvertures,
Je marche d'une lenteur impressionante,
Mes mains sont dèja pleines d'engelures.
Quelques pas, me rapprochant du pôle,
J'atteins mon objectif ultime,
Avant enfermé sous ses tôles,
Les bidonvilles n'ont pas d'estime.
Le vent glacial effleure ma peau,
Mes bottes se collent à la glace,
Je ragarde vers le haut,
Au paradis, espèrons qu'il reste une place.
Fabulle
Dans l'Artique, un soir d'hiver;
Je pense que j'en ai assez.
J'enfile mon polaire vert.
Puis je sors de ma tente ,
Je jette les grosses couvertures,
Je marche d'une lenteur impressionante,
Mes mains sont dèja pleines d'engelures.
Quelques pas, me rapprochant du pôle,
J'atteins mon objectif ultime,
Avant enfermé sous ses tôles,
Les bidonvilles n'ont pas d'estime.
Le vent glacial effleure ma peau,
Mes bottes se collent à la glace,
Je ragarde vers le haut,
Au paradis, espèrons qu'il reste une place.
Fabulle
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