samedi 5 juillet 2014

Ma muse

Je ne croyais pas tous ces poètes et leurs muses
Leurs amours désavoués, leurs lettres qui saignaient
Et j'ai découvert une fée païenne, ma muse
Et j'ai compris Tibulle et Catulle, je signais

Désormais tous mes poèmes pour elle
Dans l'espoir qu'elle les lise un jour
Je vis pour ce moment, cette larme sur elle
Que j'aime, et que j'aimerai pour toujours

J'entends son cœur dans l'harmonie de l'univers
Il bat à mon rythme et je bats au sien
Qui s'accorde quand chacun s'aime d'hiver
Si long par son absence à rompre le lien

Alors j'en appelle à tous les poètes de la Terre
Et leurs muses qui se sont aimés secrètement
Que ces mots lui parviennent, peu importe le mystère
Que vous utiliserez pour cela, je veux être son amant

Fabulle 25/06/2014

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