Je croyais pouvoir l'oublier
Laisser mon cœur se reposer
Comprendre comment il fonctionnait
Si je pouvais de nouveau aimer
Mais l'amour en a voulu autrement
Et mon cœur s'emballe anormalement
La vie ne pouvait continuer ainsi
Sans que deviennent miens ses soucis
Je dois donc fuir le temps, l'amant
S'enfuit vers la vie, le poète
Remplace cet homme d'égarement
Que j'étais, aimer, c'est renaître
Et phénix que je devenais, s'enflamme
Mon corps, petit cœur d'homme honnête
Devant celle pour qui brûle ma flamme
Pour qui s'illumine ma pauvre tête
Fabulle 14/08/2011
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