Des ombres chinoises, fantômes de la nuit
Peuplent mes rêves, ces cruelles féeries
Qui jamais ne verront jour, je m'ennuie
Dans la lumière, qu'existe mon imaginaire!
Ma mythologie est bien loin d'être réelle
Et je me réveille, assoiffée d'idées
De poèmes étranges, de chansons de Brel
De peintures célèbres, de musiques déridées
J'ai voyagé jusqu'au bout du monde
Pour retrouver une harmonie, une peccadille
Mais tout cela par esprit, le tonnerre gronde
Ça veut sortir, cela vous hantera, ça frétille
Attendez, je vais essayer de les retenir
Mais fuyez tant qu'il est encore temps
Avant que ça arrive sur le marché, l'avenir
S'annonce vite, au millième, je me rends
Fabulle 27/02/2011
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