Le temps est venu de bien réfléchir
Sur ce qui va rester sur cette planète
Si l'univers nous accueillera, il se tire
En attendant, tout cela n'est pas net
C'est ce que je me suis dit en voyant
Des désastres, intemporelles, ils seront
Il est temps de bien voir en noyant
Nos vieux préjugés, nous nous détournerons
De tous ces gaspillages innommables
Je me rendrai moi-même à Copenhague
Seul, je crierai dans les sinistres étables
J'arpenterai les usines de La Hague
Et pour finir, je déménagerai sur Mars
Les vents glaciaux me rafraîchiront
Les idées viendront, je les dirai à mes comparses
Ils feront l'avenir tant espéré et nous verrons
Fabulle 06/01/2010
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