Je n'ai qu'une seule drogue, c'est la poésie
Qui enivre de douce mélancolie
Qui entraîne dans la plus profonde frénésie
Quand je flâne à Paris, rue de Rivoli
On ne s'en sépare jamais, essayez
Vous verrez le monde sous un autre œil
Et vous ne serait plus déçu de balayer
Au rythme des mots, je fais le deuil
Le deuil d'une vie simple et sage
Le poésie vous rend fou, et de cette folie
On ne sort jamais des images
Qui hantent ce monde lorsque je me relis
Et pour solutionner cette dépendance
J'écris pour ne plus ressentir
Mon ancienne et vaine indépendance
Je suis prisonnier des mots, non, sans mentir?
Fabulle 09/10/2009
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