Un mince rai lumineux sillonne
L'espace temps de ma chambre
Et différentes émotions résonnent
Toujours dans ces quatre murs ambres
L'interstice subsiste
Que lorsque la lumière soit
Et pour cela, elle faut qu'elle existe
Et que la lumière fut pour qu'elle soit
Toutes ces élucubrations philosophiques
Ne servent à rien pour un quidam
Mais se renforcent d'un orchestre symphonique
Qui rendrait émoussé n'importe quelle lame
L'interstice, c'est aussi le moment
Où l'impossible parait accessible
C'est pour ça que je le regarde ardemment
Et que je ne peux lâcher mon regard de cet insensible
Fabulle 19/08/2009
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