On ne se le dit pas assez
Mais il y a encore des gens
Qui se battent pour amasser
Quelques pesetas à Abidjan
Ils se battent pour plonger
Dans les eaux mal engagées
Des pêcheurs qui ont la volonté
Mais pas les autorisations comptées
Oui, c'est horrible de nos jours
De ne pas pouvoir travailler
Car bien sûr, on omet toujours
Les populations qui y ont taillé
Un toit, un projet quelconque
Et certains sont là pour les empêcher
J'en ressortirai ma frêle jonque
Il faudrait que tout le monde puisse pêcher
Fabulle 14/08/2009
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire