Il en faut effectivement de la crise
Car c'est une vague passagère
Indésirable comme la douce brise
Fraîche sur les économistes qui exagèrent
Non, vraiment, à quoi bon en pleurer
Tant qu'on peut vivre, on est heureux
Il ne faut quand même pas délurer
Avec ses généreux banquiers véreux
C'est sûr, je vais me faire des amis
Mais je suis comme ça, j'adore rigoler
Alors en attendant, je joue au rami
Comme de mon boulot, on m'a délogé
Mais je tient le cap de la rigolade
La fête, c'est aujourd'hui
Le printemps des poètes et ses balades
La crise n'a rien à faire ici, j'en déduit
Fabulle 02/03/09
P.S. : Effectivement, aujourd'hui début du printemps
Des poètes, naturellement et je promets
Que des poèmes, je posterai chaque jour à temps
J'espère que ma science de la poèsie, je vous la transmets
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