Mais un peu quand même...
Grenoble revival dans les rues vides
Archimède au casque, je sème
Les Inconnus, et mes propres rides
Je vieillis au coin de tram
De là à inspecter mes états d'âmes
J'entrevois l'humanité au bout des reines
Suis-je né pour voir la fin de l'arène
Le torero agite son vain drapeau blanc
Je n'arrêterai pas de tempêter
Vous êtes arrivés trop tard à la fin de l'été
Pour me sauver et rentrer dans le rang
Je vous exècre, peuplade empirique
Sans prévision, je meurs d'Afrique
Fabulle 30/08/2019
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire