Sensation coupée par le souffle
Le trait assuré par l'ambition
De faire du monde une création
Destructrice, à si frêle pantoufle
L'imaginaire survit grâce à toi
A ton baiser suave qui m'envahit
Je reste coi, mon battement me trahit
Je t'aime, au-delà, sans être à soi
Jamais je ne te reverrai comme ça
Le futur t'a balayé d'un temps cruel
Je mourrai en criant tu es belle
Et j'oublierai tout, tout trépassa
C'est à ça que ressemble mon tableau
Mon icône au sang,
Mon chef d'oeuvre au temps
La fin en huis clos
Fabulle 1/02/2020
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