Quand Paris s'étend devant moi
Et que le brouillard se dissipe dans l'effroi
Laissant le carnage se voir, s'observer
Je me relève du sommeil, arrête de rêver
J'entame mon ascension, vole au-dessus
Il faut stopper tout ça, se taper dessus
Et en finir avec la religion, et ceatera
Regarde où ça mène, ça nourrit les rats
Et arriver à Montmartre, contempler le charnier
Je pense au mal, au pire routinier
Qui recommence à chaque crise
Et nous fait croire à l'entreprise
(Des dieux?)
Fabulle 08/10/2016
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire