Quand Paris s'étend devant moi
Et que le brouillard se dissipe dans l'effroi
Laissant le carnage se voir, s'observer
Je me relève du sommeil, arrête de rêver
J'entame mon ascension, vole au-dessus
Il faut stopper tout ça, se taper dessus
Et en finir avec la religion, et ceatera
Regarde où ça mène, ça nourrit les rats
Et arriver à Montmartre, contempler le charnier
Je pense au mal, au pire routinier
Qui recommence à chaque crise
Et nous fait croire à l'entreprise
(Des dieux?)
Fabulle 08/10/2016
mardi 11 octobre 2016
Illusion
Le temps s'étiole comme l'infini de la nuit
Il me reste je ne sais combien à attendre
Comme tout s’enlève, se morfond, s'ennuie
Il faut tricher, ruser, de l'énergie à revendre
Et le froid s'invite, tellement sûr de lui,
Dominant les alliés, les justes patries
Et se précipitant, à livrer tout aujourd'hui
Pour finir au-delà, au son des batteries
Je me relève seulement maintenant,
En ta présence régénératrice
Remarche tout doucement,
Vers les impératrices
Tout est illusion
Même mon amour
S'envole sans raison
Pour toujours
16.21 MEP Fabulle
Il me reste je ne sais combien à attendre
Comme tout s’enlève, se morfond, s'ennuie
Il faut tricher, ruser, de l'énergie à revendre
Et le froid s'invite, tellement sûr de lui,
Dominant les alliés, les justes patries
Et se précipitant, à livrer tout aujourd'hui
Pour finir au-delà, au son des batteries
Je me relève seulement maintenant,
En ta présence régénératrice
Remarche tout doucement,
Vers les impératrices
Tout est illusion
Même mon amour
S'envole sans raison
Pour toujours
16.21 MEP Fabulle
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