jeudi 18 octobre 2012

Quelles bonnes pâtes!

Je n'aurais jamais cru être pâtes à ce point
Mais je sais pourquoi, la flemme qui m'aime
Car je n'y peux rien, ça me prend de loin
Et ne me quitte plus, tout ça quand vient le dilemme

De savoir quoi manger, de savoir quoi préparer
Alors une foultitude d'idées compliquées traversent
Mon esprit, et l'heure tourne, le temps s'est barré
Et les pâtes deviennent la solution qui me reste

Tortellinis, farfales et raviolis, spaghettis
Boccolini ou macaroni n'ont plus de secrets,
Pour moi, chef cuisinier (de l'esprit), bon appetit
Bien sûr, que je me souhaite car qui crée

Sa cuisine a du mal à la critiquer soi-même
Et il se force à tout manger pour ne pas gâcher
Son propre travail, car on ne peut effacer les blêmes
Ratés alimentaires, ceux-ci, je dois tous les mâcher

Fabulle 18/10/2012

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