Un président change, cela ne change rien
Car l'homme le plus puissant du monde Narien
A craindre du changement car lui
D'un claquement de doigt, change celui
Qui gouverne un pays, une usine, une abbaye
Il trône seul sur le monde et si ébahi
Qu'un homme puisse l'être, les hommes
Se prosterneraient s'ils savaient qu'un homme
Pouvait tout contrôler, presque un Dieu
Ou un grand architecte, sous ces yeux
Se déroule le scénario qu'il a imaginé
Un dessein supérieur, il faut paginer
Donc nos copies de vie, qu'il décide
Un jour de laisser vivre, qu'il se trucide
Trop fort de son pouvoir ,qu'il change
De voie, qu'il arrête d'être notre ange
Fabulle 08/05/2012
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