Ok, Dieu, c'est peut-être pas nous, la mer
M'a fait changé d'avis, cette sauvagerie
Ces éléments meurtriers, les maîtres de la Terre
Ne sont pas les hommes, mais la nature qui nous rit
Au nez, cette vision qui hante le marin
Pour leur retour à terre, c'est en Dieu
Qu'il donne son salut, c'est qu'il ne craint
L'amer quand Jésus veille, quand le lieu
Vient à manquer, il redouble d'efforts
Et de prières pour plus vite revenir à terre
En gros, il s'oublie, mais il vit encore
Et il continue à croire tant qu'il va en mer
Mais fort de ces histoires, j'entre dans le cimetière
Là où les noms des miens sont écrits
Impossible de repêcher un corps de l'altière
Ennemie, à laquelle en vain, on lance nos cris
Fabulle 25/10/2011
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