Je marchais sur le sable mouillé
Par les embruns, certes un peu plus calmes
Que les eaux troublés du Japon, pour dérouiller
Mes jambes, j'escalade des rochers en palme
Car pour maîtriser la mer, on implante
Des rochers empêchant la progression fatidique
Pour cela, on est allé acheter des plantes
Dans une jardinerie à côté d'une boutique
De voitures. Un homme nous aborde
Normal, c'est son job, qu'il fait bien
Carte de visite en nos mains, une corde
Tracte notre acquisition, ça se vend bien
Les automobiles japonaises? Depuis le tsunami
Et des tests de vitesse grandeur nature
Les concurrents sont des redoutables ennemis
Regardez les moqueurs, devant la devanture
Fabulle 13/03/2011
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