Les traits envahissent mon corps
C'est une attaque frontale
Elle m'est déjà radicale
Ces poils sont pour moi des morts
Sans âme, ils vivent en parasite
Sur les jambes, sous mes bras
C'est la virilité, bon débarras
Mais je ne m'épilerai pas, je n'hésite
La grandiloquence, ça va
Mais l'aberrance de l'adolescence
Ne permet d'assumer sa présence
Mais moi, j'assume à tout va
Fabulle 25/06/09
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire