On se dirige déjà vers août
Mais le temps me laissent dans le doute
Une grosse pluie pour le dernier jour de juillet
La tempête qui permet de nous railler
Les tables de jardins inondées
Le bruit palpitant et plaquant de l'ondée
La météo détraqué des programmes télés
Et les vendeurs sur la plage qui ne puissent héler
Voilà où est passé le charme de l'été
Ce temps morne qui me rend hébété
Coincés dans la véranda aux bruits accablants
Tout mon cerveau et ma peau deviennent blancs
Enfin, ce n'est pas moi qui décide
Du temps qu'il fait et des plages vides
Mais dîtes vous que la grosse pluie de l'été
N'était pas seul car vous y étiez
Fabulle 28 juillet 2008
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