Les minutes s’égrenaient
Devant l’immensité de l’océan
Au royaume des longs nez
Déjà un an
Sur l’île aux narvals
Voilà des jours que je rétorque
Mes propres paroles de cavales
Et ce naufrage devant l’orque
Un orque que j’ai revu en compagnie
Des partisans aux longues épées
Voici tant de choses que je nie
Pour pouvoir garder la paix
Si quelqu’un veut me délivrer
Qu'il n’hésite pas, je suis ici
Aux narvals, je suis livré
Tiens, un hélico de la BBC.
Fabulle 27/05/08
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