Mes yeux vacillent au rythme d'une musique
Les silhouettes se brouillent, les sons n'entendent plus
Je dérive de plus en plus vers des scènes oniriques
Mon cerveau ne contrôle plus, le moment est venue
On se dirigeait vers les vestiges d'une église
Une vieille cathédrale dont les cloches endormies
Veillent sur les marais dans lesquelles je m'enlise
La mort arrive, enfin, l'arrêt m'est permis
L'amertume m'envahit
Tandis qu'approche la fin de ma vie
Hormis que sonnent ces instants de liesse
La musique est finie, il faut que je vous laisse.
Fabulle 10/05/2008
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