Il y a des choses dans ce monde que tout le monde veut
Aimer et être aimé est certainement la plus convoitée
Car c'est une improbabilité de chaque instant et qu'heureux
Dans ce surplus d'âme, ne pourrait passer un bel été
Et dans cette recherche permanente, de jaugements approximatifs
On espère et anticipe, imagine chaque histoire comme unique
Pour que la bonne personne nous ayons trouvée, addictif
Et malade pour longtemps, sans envie d'antibiotiques
Et c'est pour ça qu'on se retrouve sur une chaise, un soir
Debout à observer la Tour Eiffel, cette absurdité phallique
A frisonner au vent qui dans votre visage, vous redonne espoir
Que la fille que j'aime est là, dans le panoramique
Et qu'enfin le chaos qui régit ce monde ait un sens
Celui de nous rapprocher jusqu'à l'ultime collision
Explosion d'un monde aux mille incohérences
Et triste vie d'un poète aux fatales illusions
Fabulle 23/07/2015
jeudi 23 juillet 2015
mardi 7 juillet 2015
Les zèbres
Et c'est sur une savane que je me suis retrouvé
Les zèbres m'entouraient, ils se rafraichissaient
Et l'avenir dépendrait de ce qu'ils buvaient
De l'eau pollué, trouble, puante, macérée
On en avait mis là par inadvertance
Par nos activités de croissance effrénée
Dire que cette eau est ma survivance
Et qu'elle était pure quand je suis né
Alors, mourant de soif, je chasse les zèbres
M'approprie un peu d'eau qui me donne envie de vomir
Je ne sais pas si j'y surmonterais les ténèbres
Quand je me pose sur la roche pour dormir
Et des rêves pas frais, je me vidai
Le jour se levai, et mes yeux ne s'ouvraient
Les animaux commençaient à me taillader
Mes illusions faisaient de plus en plus vraies
Fabulle 06/07/2015
Les zèbres m'entouraient, ils se rafraichissaient
Et l'avenir dépendrait de ce qu'ils buvaient
De l'eau pollué, trouble, puante, macérée
On en avait mis là par inadvertance
Par nos activités de croissance effrénée
Dire que cette eau est ma survivance
Et qu'elle était pure quand je suis né
Alors, mourant de soif, je chasse les zèbres
M'approprie un peu d'eau qui me donne envie de vomir
Je ne sais pas si j'y surmonterais les ténèbres
Quand je me pose sur la roche pour dormir
Et des rêves pas frais, je me vidai
Le jour se levai, et mes yeux ne s'ouvraient
Les animaux commençaient à me taillader
Mes illusions faisaient de plus en plus vraies
Fabulle 06/07/2015
samedi 4 juillet 2015
Elle et moi
Assise à un bar, elle regarde vers moi
Distraitement, elle ne doit pas me prêter attention
Mais ses yeux reviennent se poser sur moi
Plus insistants, avec envie et de claires intentions
Comme parade, je détache mes cheveux
Et me rends compte que je la regarde aussi
Et que l'envie monte petit à petit dans mon creux
Et que je rêve sur le basculement, et si
Je passais de l'autre côté, elle est belle
Et moi qui prétendait l'être devant mes amies
Elles discutent entre elles mais il n'y a plus qu'elle
Et son aura se répand en moi comme une épidémie
Et là, elle se lève, allant à visée aux toilettes
Alors je me lève, et la rejoins dans l'endroit
Auquel je m'attendais pas, qu'à l'amour, je sois prête
Et si fabuleuse, qu'un baiser se fraya entre elle et moi
Fabulle 04/07/2015
Distraitement, elle ne doit pas me prêter attention
Mais ses yeux reviennent se poser sur moi
Plus insistants, avec envie et de claires intentions
Comme parade, je détache mes cheveux
Et me rends compte que je la regarde aussi
Et que l'envie monte petit à petit dans mon creux
Et que je rêve sur le basculement, et si
Je passais de l'autre côté, elle est belle
Et moi qui prétendait l'être devant mes amies
Elles discutent entre elles mais il n'y a plus qu'elle
Et son aura se répand en moi comme une épidémie
Et là, elle se lève, allant à visée aux toilettes
Alors je me lève, et la rejoins dans l'endroit
Auquel je m'attendais pas, qu'à l'amour, je sois prête
Et si fabuleuse, qu'un baiser se fraya entre elle et moi
Fabulle 04/07/2015
Les lignes de métro
On aimerait que les lignes ne se finissent jamais
Qu'elle ne s'arrête pas comme prévu à la prochaine station
Que toutes les convention changent car j'aimais
Celle qui était à mes côtés pour Issy destination
Elle m'a fait écouter de la musique car l'ivresse
Nous guette tous sur les rames, et l'écouteur partagé
Signifie bien plus qu'une brève trêve à Abbesses
Un monde qui se crée, tout un univers imagé
Et le rêve s'écourte, fatal, et si je ne la revoyais
Mon cœur de finir n'en pourrait plus de crever
De battre à la première inconnue qui me regarde niais
La déshabiller, savoir si continuer, on aurait dû rêver
Alors quand à nouveau le métro s'engouffre dans le noir
Je ne pense qu'à une chose, redescendre et retourner
Faire un changement, concrétiser ce qu'il me reste d'espoir
Pour qu'enfin l'amour dans mon cœur puisse séjourner
Fabulle 02/07/2015
Qu'elle ne s'arrête pas comme prévu à la prochaine station
Que toutes les convention changent car j'aimais
Celle qui était à mes côtés pour Issy destination
Elle m'a fait écouter de la musique car l'ivresse
Nous guette tous sur les rames, et l'écouteur partagé
Signifie bien plus qu'une brève trêve à Abbesses
Un monde qui se crée, tout un univers imagé
Et le rêve s'écourte, fatal, et si je ne la revoyais
Mon cœur de finir n'en pourrait plus de crever
De battre à la première inconnue qui me regarde niais
La déshabiller, savoir si continuer, on aurait dû rêver
Alors quand à nouveau le métro s'engouffre dans le noir
Je ne pense qu'à une chose, redescendre et retourner
Faire un changement, concrétiser ce qu'il me reste d'espoir
Pour qu'enfin l'amour dans mon cœur puisse séjourner
Fabulle 02/07/2015
Course d'orientation
J'ai perdu le chemin de mon cœur
Et les hommes s'entretuent en forêt
Je cours pour n'avoir plus peur
Et dans une crevasse, marque l'arrêt
Ma boussole devient alors folle
L'aiguille ne fait sans cesse que varier
Et je reste, évadé, hors-sol
Sans plus l'espoir de me marier
Je repars à travers les broussailles
Les arbres me regardent passer
Et me fouettent en guise de représailles
Je tombe à terre, trop de tout lassé
Je finirai donc ici, ma carte à la main
Qui ne m'aura finalement servi à rien
Je ne voulais pas y lire le chemin
Et c'est ici que meurt Fabien
Fabulle 01!07!2015
Et les hommes s'entretuent en forêt
Je cours pour n'avoir plus peur
Et dans une crevasse, marque l'arrêt
Ma boussole devient alors folle
L'aiguille ne fait sans cesse que varier
Et je reste, évadé, hors-sol
Sans plus l'espoir de me marier
Je repars à travers les broussailles
Les arbres me regardent passer
Et me fouettent en guise de représailles
Je tombe à terre, trop de tout lassé
Je finirai donc ici, ma carte à la main
Qui ne m'aura finalement servi à rien
Je ne voulais pas y lire le chemin
Et c'est ici que meurt Fabien
Fabulle 01!07!2015
A l'idée
Je me fais subitement à l'idée
Qu"un jour, je devrais définitivement te quitter
Qu'il me faudra t'oublier, vivre d'un amour raisonné
Et ne plus repenser que tu étais la seule que j'aimais
J'en aimerais donc une autre, c'est décidé
J'ai échoué de te retrouver
Je ne serai pas heureux mais je m'y ferai
Je ne comptais pas l'être quand je suis né
Et cette fois-ci, il n'y aura plus "Et de si
Je te rencontrai dans la rue comme je l'ai rêvé
Mon chemin, je serai obligé de passer
Et ferai de moi, le plus grand lâche indécis
Alors Raphaëlle, je ne sais pas si tu te souviens de moi
Mais ne m'aime plus
Peut-être est-ce mieux ainsi pour nos émois
De ne pas s'aimer comme on aurait dû
Fabulle 27/06/2015
Qu"un jour, je devrais définitivement te quitter
Qu'il me faudra t'oublier, vivre d'un amour raisonné
Et ne plus repenser que tu étais la seule que j'aimais
J'en aimerais donc une autre, c'est décidé
J'ai échoué de te retrouver
Je ne serai pas heureux mais je m'y ferai
Je ne comptais pas l'être quand je suis né
Et cette fois-ci, il n'y aura plus "Et de si
Je te rencontrai dans la rue comme je l'ai rêvé
Mon chemin, je serai obligé de passer
Et ferai de moi, le plus grand lâche indécis
Alors Raphaëlle, je ne sais pas si tu te souviens de moi
Mais ne m'aime plus
Peut-être est-ce mieux ainsi pour nos émois
De ne pas s'aimer comme on aurait dû
Fabulle 27/06/2015
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