Je me suis souvent demander d'où venaient
Les tapis anciens dans les bazars parisiens
De l'orient, ça, je l'avais déjà deviné
Mais de quelle contrée? Je n'en savais rien
Alors je m'imagine dans les avions orientaux
Pour voyager, découvrir ces régions reculées
J'ai jeté, par le hublot, mon manteau
Je n'en aurai pas besoin là où je vais
Je descends, ensoleillé, le pays était
Je ne savais même pas où j'étais
Car l'imaginaire n'aime pas la précision
Le flou en est sa principale décision
Mais ma dérivation m'a poussé
A me cultiver, ouvrir une encyclopédie
Écouter l'hymne du Yémen, dont on sait
Que les tapis, c'est de là que je les expédie
Fabulle 11/04/2010
... Surtout s'il est volant!
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