Le froid s'est emparé de mon pays
Le triste hiver a enfin commencé
Et a pris en otage les Normands, ils ont failli
Abandonnés au coin du feu, mais j'ai lancé
L'appel que tous attendaient, ils étaient
Rassemblés devant les monuments gris
Je leur ai dit, n'attendez pas le cruel été
Pour vivre, c'est chaque jour de l'année que j'écris
Et peu importe les conditions, le lycée
Sera vide sans moi, je n'en doute pas
Mais tel Arachnée, je continuerai à tisser
Ces poèmes, l'hiver ne m'arrêtera pas
Franchement, c'est plus le travail qui m'oblige
A laissé des espaces insolubles sur mes carnets
Comme quoi, cette journée, parsemée de litiges
Permet une chose: Fabulle renaît
Fabulle 18/12/2009
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