En ces temps agités
Monsieur Germain rentrait
A l'abri, il était alité
Mais la Révolution se sentait
Il était resté couché
Tout ce 14 juillet
Mais il n'avait pas les oreilles bouchées
Et entendait des bruits, ça y est!
Le grondement avait commencé
On vit des étendards se levaient
Il avait bien voulu se lever
Mais Monsieur Germain ne dansait
La fièvre même empirait
A cette histoire, il ne participerait
Il ne connaîtrait pas la suite et virait
Vers un nouveau monde qu'il espérait
Fabulle 14/07/09 Un mardi comme ce jour-ci.
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