Aux mages du Moyen-Age
Ils faisaient brûler leurs doigts
Et mourrait dans leur jeune âge
Pour une chose où je ne dois
Finir dans l'aube levante
Et où aucun ne se vante
Le vent essayait vainement
D'éteindre les flammes hurlantes
Mais le destin irrésistiblement
En décida autrement, et évente
Les feuilles secrètes des lucioles
Qu'ils avaient volés sans cabriole
Sur le bûcher, ils restaient sans bouger
De peur que la mort ne vienne trop vite
Mais cela ne les empêche pas de rager
Contre un monde désuet et d'éviter
La prochaine sortie de l'effroyable humanité
De certains gens à la grande vanité
Fabulle 11:01:8002
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