C'est sur une longue rame abandonné
Par tout le monde et inutile
Qu'un silencieux chauffeur est né
Il subsiste en ne vendant que l'utile
Il a disparut dans la vie
Avec la véritable espérance
Et ne pense pas à son avis
Mais ni à sa désespérance
Dans la neige éternelle
Et le froid glacial de Sibérie
Qu'il trouve l'aberration originel
Et la vainc seul face à la série
Je ne pense pas qu'il meure
Car il représente l'immortel
Et il restera dans son humble demeure
Un métro dans le monde originel
Fabulle Station : 30102008
jeudi 30 octobre 2008
Mythologie fabullienne
C'est sur le perron du Louvre
Que j'ai rêvé de devenir quelqu'un
Plus qu'une porte et ouvre
La liberté pour chacun
Plus qu'une invention, un rêve
Et bien plus à mes yeux
Le chêne abandonne sa sève
Et ne se remet plus à Dieu
Infréquentable, je suis devenu
Devant l'incroyable nouvelle
Et devant la scène, je suis revenu
Pour annoncer la posthume nouvelle
Je ne suis plus grand chose
Les rêves d'enfant servent à une chose
Ne pas rêver de la réalité
Et ne pas espérer la vérité
Fabulle 30.10/2008
Que j'ai rêvé de devenir quelqu'un
Plus qu'une porte et ouvre
La liberté pour chacun
Plus qu'une invention, un rêve
Et bien plus à mes yeux
Le chêne abandonne sa sève
Et ne se remet plus à Dieu
Infréquentable, je suis devenu
Devant l'incroyable nouvelle
Et devant la scène, je suis revenu
Pour annoncer la posthume nouvelle
Je ne suis plus grand chose
Les rêves d'enfant servent à une chose
Ne pas rêver de la réalité
Et ne pas espérer la vérité
Fabulle 30.10/2008
mercredi 22 octobre 2008
J'alarme
J'écris sans le génie des grands
J'évite de parler des tabous
J'estime tremper les ans
J'espère y arriver au bout
J'entre sans grand bruit
J'explore les pistes solitaires
J'examine tous les petits bruits
J'exhorte sur le plus grand des parterres
J'apporte les preuves
J'arrime mon humble bateau
J'arrive dans l'épreuve
J'arme mes maisons de râteaux
J'aime la symétrie
J'adore les alizés
J'admire la dissymétrie
Même si je sais pas ce que c'est
Fabulle 22 sans obre 2008
J'évite de parler des tabous
J'estime tremper les ans
J'espère y arriver au bout
J'entre sans grand bruit
J'explore les pistes solitaires
J'examine tous les petits bruits
J'exhorte sur le plus grand des parterres
J'apporte les preuves
J'arrime mon humble bateau
J'arrive dans l'épreuve
J'arme mes maisons de râteaux
J'aime la symétrie
J'adore les alizés
J'admire la dissymétrie
Même si je sais pas ce que c'est
Fabulle 22 sans obre 2008
Faites rien
Les poèmes ne servent à rien
Et puis ça ne veut rien dire
En tout cas ne lisais rien
Et vivait sans rien dire
Dirigez vous vers un ermite
Et écoutez le se taire
Enfermez vous avec l'ermite
Et ne bougez plus sur Terre
Restez là à ne pas énerver
La plupart du reste du monde
Et vivez dans l'arrivée
Du grand silence de l'onde
Et puis n'écrivez plus
Car on vous lira pas
Je n'en peux plus
Tout de façon ça ne vous ira pas
Fabulle 22102008
Et puis ça ne veut rien dire
En tout cas ne lisais rien
Et vivait sans rien dire
Dirigez vous vers un ermite
Et écoutez le se taire
Enfermez vous avec l'ermite
Et ne bougez plus sur Terre
Restez là à ne pas énerver
La plupart du reste du monde
Et vivez dans l'arrivée
Du grand silence de l'onde
Et puis n'écrivez plus
Car on vous lira pas
Je n'en peux plus
Tout de façon ça ne vous ira pas
Fabulle 22102008
Deux jours
Et je compose sans relâche
Avant mes 16 ans
Car dans la vie je suis lâche
Et je m'en vais en courant
Je ne sais pas si ça changera
Ma vie ou je ne sais quoi
Mais en tout cas, il erra
Jusqu' à la fin et puis quoi?
Et à quoi ça sert d'avoir 16 ans
Je ne pourrais pas faire grand chose
Et puis je rêve d'être un enfant
Sans insouciance cueillant une rose
Dans deux jours, mourrais-je avant ?
Je ne sais pas ce que l'on me réserve
Mais il faut bien que avant
J'ai un peu plus de verve
Fabulle J-2
Avant mes 16 ans
Car dans la vie je suis lâche
Et je m'en vais en courant
Je ne sais pas si ça changera
Ma vie ou je ne sais quoi
Mais en tout cas, il erra
Jusqu' à la fin et puis quoi?
Et à quoi ça sert d'avoir 16 ans
Je ne pourrais pas faire grand chose
Et puis je rêve d'être un enfant
Sans insouciance cueillant une rose
Dans deux jours, mourrais-je avant ?
Je ne sais pas ce que l'on me réserve
Mais il faut bien que avant
J'ai un peu plus de verve
Fabulle J-2
vendredi 17 octobre 2008
Inspiration
Je ne suis qu'à une inspiration
De la mort sans sursis
Je n'ai plus droit à l'expiration
De tout mon cerveau indécis
Je ne peux plus respirer
Sans tomber dans l'oubli
Je ne peux pas inspirer
Car j'ai déjà établi
La vie que j'aurais dû vivre
Mais je n'ai fait que survivre
Je ne peux plus sentir
L'odeur des fleurs sans avenir
Quelques minutes en apnée
Il explosera mon nez
Et je suis mort sans préavis
Sans ce monde, sans avis
Fabulle 17 10 2008
De la mort sans sursis
Je n'ai plus droit à l'expiration
De tout mon cerveau indécis
Je ne peux plus respirer
Sans tomber dans l'oubli
Je ne peux pas inspirer
Car j'ai déjà établi
La vie que j'aurais dû vivre
Mais je n'ai fait que survivre
Je ne peux plus sentir
L'odeur des fleurs sans avenir
Quelques minutes en apnée
Il explosera mon nez
Et je suis mort sans préavis
Sans ce monde, sans avis
Fabulle 17 10 2008
Pas
Je sais que je vais m'énerver
Et il ne faut pas
Je sais que je vais encore ruminer
Et je ne voudrais pas
Mon avenir est un paradoxe
Mais il me reste beaucoup de pas
Un gant pour faire de la boxe
Mais je sens que je ne dois pas
On me trouve fou car je le suis
Et pourtant il n'y a pas
A s'inquiéter de mon état et puis
Il va falloir faire des pas
Voici à quoi sert les feuilles
Du conseil régional et à ne pas
Souffrir de la colère du deuil
Mais juste marcher quelques pas
Fabulle 1 1 2
Et il ne faut pas
Je sais que je vais encore ruminer
Et je ne voudrais pas
Mon avenir est un paradoxe
Mais il me reste beaucoup de pas
Un gant pour faire de la boxe
Mais je sens que je ne dois pas
On me trouve fou car je le suis
Et pourtant il n'y a pas
A s'inquiéter de mon état et puis
Il va falloir faire des pas
Voici à quoi sert les feuilles
Du conseil régional et à ne pas
Souffrir de la colère du deuil
Mais juste marcher quelques pas
Fabulle 1 1 2
samedi 11 octobre 2008
Contre les sens
Aux mages du Moyen-Age
Ils faisaient brûler leurs doigts
Et mourrait dans leur jeune âge
Pour une chose où je ne dois
Finir dans l'aube levante
Et où aucun ne se vante
Le vent essayait vainement
D'éteindre les flammes hurlantes
Mais le destin irrésistiblement
En décida autrement, et évente
Les feuilles secrètes des lucioles
Qu'ils avaient volés sans cabriole
Sur le bûcher, ils restaient sans bouger
De peur que la mort ne vienne trop vite
Mais cela ne les empêche pas de rager
Contre un monde désuet et d'éviter
La prochaine sortie de l'effroyable humanité
De certains gens à la grande vanité
Fabulle 11:01:8002
Ils faisaient brûler leurs doigts
Et mourrait dans leur jeune âge
Pour une chose où je ne dois
Finir dans l'aube levante
Et où aucun ne se vante
Le vent essayait vainement
D'éteindre les flammes hurlantes
Mais le destin irrésistiblement
En décida autrement, et évente
Les feuilles secrètes des lucioles
Qu'ils avaient volés sans cabriole
Sur le bûcher, ils restaient sans bouger
De peur que la mort ne vienne trop vite
Mais cela ne les empêche pas de rager
Contre un monde désuet et d'éviter
La prochaine sortie de l'effroyable humanité
De certains gens à la grande vanité
Fabulle 11:01:8002
La frêle jonque
Je voulais faire une brève visite
Aux marins ivres et fous
Revoir ce que j'ai conté très vite
Au détour d'un tableau fou
Et les vagues déferlaient
Sur les flancs de la jonque
Et pourtant, ils voulaient
Vraiment conquérir la conque
Ils cherchaient dans la mort
Dans la vie de Shanghaï vers minuit
Ils rencontraient des hommes dans un fort
Et retournaient dans la plus douce nuit
Ils rêvaient de temps en temps
Qu'ils trouvaient cette conque
Mais sans doute par manque de temps
Ils mourraient dans leur jonque
Fabulle 11 1020 08
Aux marins ivres et fous
Revoir ce que j'ai conté très vite
Au détour d'un tableau fou
Et les vagues déferlaient
Sur les flancs de la jonque
Et pourtant, ils voulaient
Vraiment conquérir la conque
Ils cherchaient dans la mort
Dans la vie de Shanghaï vers minuit
Ils rencontraient des hommes dans un fort
Et retournaient dans la plus douce nuit
Ils rêvaient de temps en temps
Qu'ils trouvaient cette conque
Mais sans doute par manque de temps
Ils mourraient dans leur jonque
Fabulle 11 1020 08
samedi 4 octobre 2008
Ouverture à la fermeture
Qu'est-ce que l'on pensera de nous
Après encore cent cinquante autres années?
Je ne sais que penser
Et je n'arrive à me projeter
Car à quoi bon, je suis né
Et nous serons morts, nous !
De cela j'en suis sûr
Et bien au delà impur
Allez tirer dans l'espace
Pour que nos enfants nous dépasse
Car de ma progéniture
Il y aura déjà la fermeture
Fabulle 4/1/0/2/0/0/8
Après encore cent cinquante autres années?
Je ne sais que penser
Et je n'arrive à me projeter
Car à quoi bon, je suis né
Et nous serons morts, nous !
De cela j'en suis sûr
Et bien au delà impur
Allez tirer dans l'espace
Pour que nos enfants nous dépasse
Car de ma progéniture
Il y aura déjà la fermeture
Fabulle 4/1/0/2/0/0/8
Reflets
J'aurais aimé traverser mon reflet
Et découvrir l'envers de ma vie
Découvrir que je ne sais ronfler
Et regarder les autres d'un autre avis
Je n'espérais pas y découvrir
Tout le sens que ma vie a pris
Et je ne pensais pas ouvrir
Un autre dossier de mon passage repris
Je faisais plus de sport
Et j'étais plus beau
Sans aucun autre effort
Dans le glace au dessus du lavabo
Mais n'essayez pas de franchir le miroir
Vous ne ferez que vous cogner
Car il n'y a pas d'autre espoir
De vous voir faire autre chose que de vous peigner
Fabulle 8002/01/4
Et découvrir l'envers de ma vie
Découvrir que je ne sais ronfler
Et regarder les autres d'un autre avis
Je n'espérais pas y découvrir
Tout le sens que ma vie a pris
Et je ne pensais pas ouvrir
Un autre dossier de mon passage repris
Je faisais plus de sport
Et j'étais plus beau
Sans aucun autre effort
Dans le glace au dessus du lavabo
Mais n'essayez pas de franchir le miroir
Vous ne ferez que vous cogner
Car il n'y a pas d'autre espoir
De vous voir faire autre chose que de vous peigner
Fabulle 8002/01/4
vendredi 3 octobre 2008
Mon aveugle Patagonie
J'ai toujours rêvé de la Patagonie
Sans jamais savoir où c'était
Il me fallut tourner à l'agonie
Pour enfin y aller
A la recherche d'un beau trésor
On m'a facilement interceptée
Le morceau craché, fini le bel or
Et mon aventure adaptée
Mais pour un peu plus de sûreté
On m'y a enfin amené
Pour vérifier le temps d'un été
Certes, captif, moins bien emmené
Ce que j'ai vu, je ne pus oublier
Toutes les émotions me rendaient
Frustré et interdit d'un regard balayer
Car j'avais les yeux bandés
Fabulle 3 octobre 2008
Sans jamais savoir où c'était
Il me fallut tourner à l'agonie
Pour enfin y aller
A la recherche d'un beau trésor
On m'a facilement interceptée
Le morceau craché, fini le bel or
Et mon aventure adaptée
Mais pour un peu plus de sûreté
On m'y a enfin amené
Pour vérifier le temps d'un été
Certes, captif, moins bien emmené
Ce que j'ai vu, je ne pus oublier
Toutes les émotions me rendaient
Frustré et interdit d'un regard balayer
Car j'avais les yeux bandés
Fabulle 3 octobre 2008
Signes chinois
C'est l'éternel mur de Chine
Dont tous les rois ont essayé de passer
Mais devant l'empereur, ils courbent l'échine
Et vivent dans la dépendance jusqu'à trépasser
Ces créneaux mythiques de la muraille
Visibles pour la première fois de la Lune
Nous font revenir sur les bons rails
Et la folie disparaît en moins d'une
Mais une lance fracassa
Ce bel édifice des Chinois
Un jeune des landes passa
Et bouscula l'Empire en lançant des noix
Ce paysan avait un rêve
Découvrir l'éternelle Chine
Il enfila un polo car le froid se lève
Mais à la fin, il courba aussi l'échine
Fabulle 3 OcToBrE 2008
Dont tous les rois ont essayé de passer
Mais devant l'empereur, ils courbent l'échine
Et vivent dans la dépendance jusqu'à trépasser
Ces créneaux mythiques de la muraille
Visibles pour la première fois de la Lune
Nous font revenir sur les bons rails
Et la folie disparaît en moins d'une
Mais une lance fracassa
Ce bel édifice des Chinois
Un jeune des landes passa
Et bouscula l'Empire en lançant des noix
Ce paysan avait un rêve
Découvrir l'éternelle Chine
Il enfila un polo car le froid se lève
Mais à la fin, il courba aussi l'échine
Fabulle 3 OcToBrE 2008
jeudi 2 octobre 2008
K2
L'avalanche déferla sur la paroi
Emporta le plus grand alpiniste
Cet événement ne mit personne en émoi
Car seul le solitaire est un grand pianiste
Il tentait l'irréalisable
Se moquant ouvertement des dieux
Ceux-ci n'ont pas voulu l'incroyable
Ils ne méritent pas d'être aux cieux
Je tentais de rattraper le souvenir
De l'ascension du mythique K2
Mais celui-ci n'a su revenir
Glissant tout doucement entre nous deux
Je ne pouvais y arriver
C'était stupide de ma part
Alors ne pleurez pas et vivez
Ce n'est pas mon premier départ
Fabulle 2 octobre 2008
Emporta le plus grand alpiniste
Cet événement ne mit personne en émoi
Car seul le solitaire est un grand pianiste
Il tentait l'irréalisable
Se moquant ouvertement des dieux
Ceux-ci n'ont pas voulu l'incroyable
Ils ne méritent pas d'être aux cieux
Je tentais de rattraper le souvenir
De l'ascension du mythique K2
Mais celui-ci n'a su revenir
Glissant tout doucement entre nous deux
Je ne pouvais y arriver
C'était stupide de ma part
Alors ne pleurez pas et vivez
Ce n'est pas mon premier départ
Fabulle 2 octobre 2008
Exhorte !
Il entre dans la légende
Comme on ouvre une porte
Sans rien faire dans sa lande natale
Mais le peuple, il l'a et il l'exhorte
Il avait ce pouvoir fin et désastreux
Qu'aucun homme n'avait su s'aguerrir
Mais lui n'avait pas besoin d'être heureux
Et le peuple, il doit le guérir
Il aimait la vie comme elle se présentait
Et son corps, il le haïssait
Son esprit grand en ressortait
Pour son peuple qu'il chérissait
Je ne parle de personne en particulier
Mais de quelqu'un qui en grandirait
Et pour l'autorité, il sortait son tablier
Contre son peuple qui se séparait
Fabulle 2 octobre 20(0000000000)08
Comme on ouvre une porte
Sans rien faire dans sa lande natale
Mais le peuple, il l'a et il l'exhorte
Il avait ce pouvoir fin et désastreux
Qu'aucun homme n'avait su s'aguerrir
Mais lui n'avait pas besoin d'être heureux
Et le peuple, il doit le guérir
Il aimait la vie comme elle se présentait
Et son corps, il le haïssait
Son esprit grand en ressortait
Pour son peuple qu'il chérissait
Je ne parle de personne en particulier
Mais de quelqu'un qui en grandirait
Et pour l'autorité, il sortait son tablier
Contre son peuple qui se séparait
Fabulle 2 octobre 20(0000000000)08
mercredi 1 octobre 2008
L'inédit du scientifique
Un mot ou deux pour vous satisfaire
Trois petites notes de folie
Et me pliait en quatre pour bien faire
C'est sur mes cinq doigts que je vous lis
Six ans, t'as déjà le stress de la vie
Et sept rides qui apparaissent
Mais huit heures sonne et la vie
T'attrape tout neuf en laisse
Alors, t'as dix policiers à tes trousses
Et onze larmes pour pleurer
Douze vies les unes toutes plus douces
Pour qu'un vendredi treize vient t'arrêter
Tu cherches midi à quatorze heures
Et le quinze, tu dois écouler tes dettes
Rendez moi mes seize ans de tout à l'heure
Plus qu'à se rendre en composant le dix-sept
Fabulle 1/10.2008
Trois petites notes de folie
Et me pliait en quatre pour bien faire
C'est sur mes cinq doigts que je vous lis
Six ans, t'as déjà le stress de la vie
Et sept rides qui apparaissent
Mais huit heures sonne et la vie
T'attrape tout neuf en laisse
Alors, t'as dix policiers à tes trousses
Et onze larmes pour pleurer
Douze vies les unes toutes plus douces
Pour qu'un vendredi treize vient t'arrêter
Tu cherches midi à quatorze heures
Et le quinze, tu dois écouler tes dettes
Rendez moi mes seize ans de tout à l'heure
Plus qu'à se rendre en composant le dix-sept
Fabulle 1/10.2008
Les poèmes bis
Perdu dans le temps au fond
De mon cartable oublié
Ils n'ont pas de chance mais font
Partie d'une vie à publier
Ces poèmes bis que je ne peux
Soumettre au monde entier
Et faire partager le feu
Qui me consumera tout entier
Sur les rythmes de Melancolia
Et ses courbes gravées pour l'éternité
Même un extra-terrien publia
Un recueil de grande vanité
Les poèmes bis faits en deux minutes
N'ont pas votre chance
Celle de les lire, et puis zut
Tant pis, Gardons les sous silence
Fabulle 1 Octobre 2008
De mon cartable oublié
Ils n'ont pas de chance mais font
Partie d'une vie à publier
Ces poèmes bis que je ne peux
Soumettre au monde entier
Et faire partager le feu
Qui me consumera tout entier
Sur les rythmes de Melancolia
Et ses courbes gravées pour l'éternité
Même un extra-terrien publia
Un recueil de grande vanité
Les poèmes bis faits en deux minutes
N'ont pas votre chance
Celle de les lire, et puis zut
Tant pis, Gardons les sous silence
Fabulle 1 Octobre 2008
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