Il me semble ne plus tenir
Cette vie infernal
J'aimerais vivre, rajeunir
Reprendre la route du canal
J'aimerais changer de vie
M'allonger, m'installer, ne plus bouger
Demander l'avis de mes amis
Ne plus vivre cette nostalgie enragée
Pourquoi je ne peux plus suivre
Ce fil terni de cuivre?
Fabulle 16/11/2007
samedi 17 novembre 2007
Haïkulumière
Surlignez ce qui suit pour voir le haïku
Derrière ce paravent
Une lumière éblouissante
Ombre chinoise
Fabulle 16/11/2007
Derrière ce paravent
Une lumière éblouissante
Ombre chinoise
Fabulle 16/11/2007
Une lettre enlevée
Cher T.S.F
Notre monde meurt comme un feu. Tel les personnes qui luttent en l'espoir d'un monde meilleur. Nous ne réussiront point. Mon univers s'écroule comme une forteresse qui tombe sous le joug de l'ennemi. Les murs tombent , les pièces choient. Il me semble ne plus tenir cette vie difficile. Cette existence est pénible et bref. Je suis fort d'esprit, même si mon corps ne suit plus. Dîtes, ne sentez vous guère le souffle de destruction qui sillonne notre bonne vieille Terre ? Moi, si. L'enfer n'est plus loin, c'est fini. Tous les mots n'ont plus de sens. Les ondes qui sortent de cette bouche qui n'est plus mienne sont incompréhensible. Mes devoirs, je ne les respecte plus. Personne ne les respectent. Qu'est ce que les droits et les devoirs ? Hier, ils furent expliqués et respectés. Imbéciles lois qui pourriront sous les décombres de notre cité. Cette fin du monde où il ne reste rien de ce peuple empirique. Le pouvoir semble être le mot d'ordre de cette société. Oui, je cris, je hurle vers cette mort. Ce qu'il me reste en temps, je l'utilise. J'écris ce que nous ressentons. Ils ont supprimés cette première lettre de ces vingt-six. Plus de début, plus de présent. Il ne nous reste plus qu'un futur : des morts.
F.bulle seize novembre deux mil sept
Notre monde meurt comme un feu. Tel les personnes qui luttent en l'espoir d'un monde meilleur. Nous ne réussiront point. Mon univers s'écroule comme une forteresse qui tombe sous le joug de l'ennemi. Les murs tombent , les pièces choient. Il me semble ne plus tenir cette vie difficile. Cette existence est pénible et bref. Je suis fort d'esprit, même si mon corps ne suit plus. Dîtes, ne sentez vous guère le souffle de destruction qui sillonne notre bonne vieille Terre ? Moi, si. L'enfer n'est plus loin, c'est fini. Tous les mots n'ont plus de sens. Les ondes qui sortent de cette bouche qui n'est plus mienne sont incompréhensible. Mes devoirs, je ne les respecte plus. Personne ne les respectent. Qu'est ce que les droits et les devoirs ? Hier, ils furent expliqués et respectés. Imbéciles lois qui pourriront sous les décombres de notre cité. Cette fin du monde où il ne reste rien de ce peuple empirique. Le pouvoir semble être le mot d'ordre de cette société. Oui, je cris, je hurle vers cette mort. Ce qu'il me reste en temps, je l'utilise. J'écris ce que nous ressentons. Ils ont supprimés cette première lettre de ces vingt-six. Plus de début, plus de présent. Il ne nous reste plus qu'un futur : des morts.
F.bulle seize novembre deux mil sept
Sans ça
Ô romain, un post-gallo-romain voudrait haïr vos habitants pour la raison qu'il y a pas mal d'ans, vos constructions ont un droit à la nation, mais nous pas un droit. Nothing !
Çà , j'irai vous haïr sur nos toits. Compris ? Il y a un mois, j'usurpais nos "rois". Mon but fut court mais nous vantons nos pays unis dans la paix. Vous, contrôlant tout un bassin. Moi, un grand pays souffrant. Avant, un latin parlait latin. Aujourd'hui, nous parlions tous anglais. Pourquoi ? Sais pas !
Vingt dollars pour un pain, voici la faim ! J'usurpais, alors travaillons !
Fabull. 16/11/2007
Çà , j'irai vous haïr sur nos toits. Compris ? Il y a un mois, j'usurpais nos "rois". Mon but fut court mais nous vantons nos pays unis dans la paix. Vous, contrôlant tout un bassin. Moi, un grand pays souffrant. Avant, un latin parlait latin. Aujourd'hui, nous parlions tous anglais. Pourquoi ? Sais pas !
Vingt dollars pour un pain, voici la faim ! J'usurpais, alors travaillons !
Fabull. 16/11/2007
mardi 13 novembre 2007
Une prophétie
Des frissons m'entourent
Hululent les hiboux
Un clair de lune en plein jour
Une vielle prophétie d'un marabout
Une histoire de vie et de mort
Qui parle toujours de même choses
L'argent et les trésors
Ou d'histoires à l'eau de rose
Personne ne parle des vertus
Des hommes inconnus
Qui par la force du regard, tuent
Héros d'une prophétie
Cela ne sonne pas bien
Je suis juste un homme indécis.
Fabulle 13/11/2007
Hululent les hiboux
Un clair de lune en plein jour
Une vielle prophétie d'un marabout
Une histoire de vie et de mort
Qui parle toujours de même choses
L'argent et les trésors
Ou d'histoires à l'eau de rose
Personne ne parle des vertus
Des hommes inconnus
Qui par la force du regard, tuent
Héros d'une prophétie
Cela ne sonne pas bien
Je suis juste un homme indécis.
Fabulle 13/11/2007
Inscription à :
Articles (Atom)