Pourquoi publier les pensées pour moi-même?
Je les connais déjà, ah non, les siennes!
Faut préciser, le stoïcisme sème
Les bases de vie! Expliquons aux aliens:
L'homme est un roseau pensant
C'est sa faiblesse et sa force
C'est pas de moi ou bien-pensant
Et Marc Aurèle bombe le torse
Car il est en retraite intérieure
Il faut dire, passé un certain âge
Il est plus facile de voir l'extérieur
Comme un autre monde, je suis le sage
Et une dernière chose, l'homme
Est un être porté vers les autres
Une bonne nouvelle en somme
Sauf que Homo sapiens a tué tous les autres
Fabulle 25/09/2009
samedi 26 septembre 2009
jeudi 24 septembre 2009
Au troisième degré
Il faut prendre ce joli monde
Et ça, c'est du troisième degré
Car quand on tombe dans la flamboyante onde
On ne rigole plus ou si, bon gré, mal gré
Donc on peut rire de tout selon ça
Et là, ça change tout car notre monde
Est si hypocrite que je ne rigolerai jamais de ça!
C'est ma différence humoristique : le micro-ondes
Car du réchauffé, c'est bien mieux que le frais
Le frais angoisse, assène mais c'est drôle
Normal, c'est du troisième degré, c'est dans nos frais
Allez, rigolons de celle-là et inversons nos rôles
J'aimerais bien me baigner nu dans le lac Baïkal!
Ça réchauffera peut-être mon cœur!
Et tu ne le ressors pas ton super livre qui cale
Ta table, oui, tu lis, ça fait peur!
Fabulle 23/09/2009
Et ça, c'est du troisième degré
Car quand on tombe dans la flamboyante onde
On ne rigole plus ou si, bon gré, mal gré
Donc on peut rire de tout selon ça
Et là, ça change tout car notre monde
Est si hypocrite que je ne rigolerai jamais de ça!
C'est ma différence humoristique : le micro-ondes
Car du réchauffé, c'est bien mieux que le frais
Le frais angoisse, assène mais c'est drôle
Normal, c'est du troisième degré, c'est dans nos frais
Allez, rigolons de celle-là et inversons nos rôles
J'aimerais bien me baigner nu dans le lac Baïkal!
Ça réchauffera peut-être mon cœur!
Et tu ne le ressors pas ton super livre qui cale
Ta table, oui, tu lis, ça fait peur!
Fabulle 23/09/2009
mercredi 23 septembre 2009
Moi
L'homme doit se battre, lutter
Pour un monde où chaque homme
Aurait une place sur une plage en été
Et dans sa besace, une pomme
Moi, je me bats en quelque sorte
Pour ce monde, je le critique
Sans ménagement, j'en ri à la porte
Pour que personne ne soit Caton d'Utique
Car, on doit vivre même sur un tapis
Instable, changeant, malléable
Et faire que ce monde soit un peu plus happy
Mon avenir sont ces misérables
Écrits qui changent tout
Absolument tout
Fabulle 22/09/2009
Pour un monde où chaque homme
Aurait une place sur une plage en été
Et dans sa besace, une pomme
Moi, je me bats en quelque sorte
Pour ce monde, je le critique
Sans ménagement, j'en ri à la porte
Pour que personne ne soit Caton d'Utique
Car, on doit vivre même sur un tapis
Instable, changeant, malléable
Et faire que ce monde soit un peu plus happy
Mon avenir sont ces misérables
Écrits qui changent tout
Absolument tout
Fabulle 22/09/2009
La vérité de la physique
Et de ma deuxième, j'ai démonté
Cette philosophie qu'est l'innéisme
Un bel après-midi, agrémentée
D'une contre preuve provoquant un schisme
Oh, c'est tout simple, même l'anglais
N'en a pas eu la brillante idée
De Descartes, ses théories, l'épingler
Et pourtant, il suffisait de résider
A un cours de simple physique
D'une surprise, on passe au manuel
Exercices alambiqués pour des phtisiques
Et prémices d'un sublime duel
La vérité de la physique, c'est que
T'as oublié ton manuel de physique
Et que on ne l'utilisait donc on prouve que
Tu pouvais pas savoir, c'est pas innée ça, c'est logique
Fabulle 22/09/2009
Cette philosophie qu'est l'innéisme
Un bel après-midi, agrémentée
D'une contre preuve provoquant un schisme
Oh, c'est tout simple, même l'anglais
N'en a pas eu la brillante idée
De Descartes, ses théories, l'épingler
Et pourtant, il suffisait de résider
A un cours de simple physique
D'une surprise, on passe au manuel
Exercices alambiqués pour des phtisiques
Et prémices d'un sublime duel
La vérité de la physique, c'est que
T'as oublié ton manuel de physique
Et que on ne l'utilisait donc on prouve que
Tu pouvais pas savoir, c'est pas innée ça, c'est logique
Fabulle 22/09/2009
Epictète
Il est, il est, oui, stoïcien!
Bravo, excellent, mais pour ceux qui suivent
C'était facile, il suffit de mettre du sien
Pour trouver ceux qui se suivent
Et l'adjectif épithète, il nous dit quoi?
Qu'on ne dépend pas de grand chose!
Car épicurisme, stoïcisme, chacun son camp
On ne s'abritera pas chez l'un à Pluviôse
L'autre, on doit s'y détacher
C'est ce que nous dit cet épithète
Moi, de ce manuel, je vais le lâcher
Car il faut aimer pour suivre Epitècte
Et puis, qui suit vraiment les manuels
D'ailleurs, avez-vous déjà lu un en entier?
Non, personne! C'est un de nos rituels
De les rendre tous avant juillet
Fabulle 22/09/2009
Bravo, excellent, mais pour ceux qui suivent
C'était facile, il suffit de mettre du sien
Pour trouver ceux qui se suivent
Et l'adjectif épithète, il nous dit quoi?
Qu'on ne dépend pas de grand chose!
Car épicurisme, stoïcisme, chacun son camp
On ne s'abritera pas chez l'un à Pluviôse
L'autre, on doit s'y détacher
C'est ce que nous dit cet épithète
Moi, de ce manuel, je vais le lâcher
Car il faut aimer pour suivre Epitècte
Et puis, qui suit vraiment les manuels
D'ailleurs, avez-vous déjà lu un en entier?
Non, personne! C'est un de nos rituels
De les rendre tous avant juillet
Fabulle 22/09/2009
lundi 21 septembre 2009
Le syndrome du deuxième
Deuxième, toujours deuxième, jamais premier!
Voilà le sort qui m'est réservé
Mais je ne suis pas seul, il ne sied
A personne d'arriver deuxième, énervé
Devinez quoi! Au self, j'étais sûr d'être
Le premier mais quelqu'un, sur le fil, m'a devancé
Et ce jour-là, ai-je voulu l'ombre d'un hêtre,
Qu'un cerf est arrivé, et je suis censé
Ne pas colérer! Moi, j'appelle ça
Le syndrome du deuxième
Je veux danser une salsa
Que je suis presque l'antépénultième!
Et quand on est seul, on ne le remarque
C'est bien le syndrome du monde
Même, ont des peines, les monarques
Et qui ce dit premier, n'est que le énième de ce monde
Fabulle 20/09/2009
Voilà le sort qui m'est réservé
Mais je ne suis pas seul, il ne sied
A personne d'arriver deuxième, énervé
Devinez quoi! Au self, j'étais sûr d'être
Le premier mais quelqu'un, sur le fil, m'a devancé
Et ce jour-là, ai-je voulu l'ombre d'un hêtre,
Qu'un cerf est arrivé, et je suis censé
Ne pas colérer! Moi, j'appelle ça
Le syndrome du deuxième
Je veux danser une salsa
Que je suis presque l'antépénultième!
Et quand on est seul, on ne le remarque
C'est bien le syndrome du monde
Même, ont des peines, les monarques
Et qui ce dit premier, n'est que le énième de ce monde
Fabulle 20/09/2009
Arsène Lupin et le stoïcisme
Si je pensais rencontrer Arsène Lupin
Dans mon manuel de philosophie!
Encore, j'aurai accepté Gérard Tapin
Ou bien Nicolas Sarkozy et Khadafi
Mais un gentleman cambrioleur!
Ce fut une surprise, et en prison
Il lisait à toutes heures,
Le Manuel d'Epictète, théorie du bison
Et on voit mal l'Indien
Discuter avec Socrate ou Platon
Ils ne vivent pas sous le même méridien
Et ça, Arsène le sait, mais pas le maton
Quoique, je préjuge en avance
Peut-être que Arsène discutait
Stoïcisme dans ses démences
Et là, on ne peut pas lutter
Fabulle 20/09/2009
Dans mon manuel de philosophie!
Encore, j'aurai accepté Gérard Tapin
Ou bien Nicolas Sarkozy et Khadafi
Mais un gentleman cambrioleur!
Ce fut une surprise, et en prison
Il lisait à toutes heures,
Le Manuel d'Epictète, théorie du bison
Et on voit mal l'Indien
Discuter avec Socrate ou Platon
Ils ne vivent pas sous le même méridien
Et ça, Arsène le sait, mais pas le maton
Quoique, je préjuge en avance
Peut-être que Arsène discutait
Stoïcisme dans ses démences
Et là, on ne peut pas lutter
Fabulle 20/09/2009
samedi 19 septembre 2009
Burkina Faso
De ce pays, un sculpteur en est ressorti
Un sculpteur de récupération
Les mauvaises langues s'en est ressenti
Mais il vient en France, l'aberration
Qui est un petit prodige de la vie
L'art est universel, et les hommes
Peuplent ce monde et de l'avis
Général, le Burkina Faso n'est qu'une somme
De préjugés injustes et criminels
L'Afrique, je ne la connais que par l'Égypte
Et un monde peut ressembler à cette prunelle
J'en suis sûr, au Burkina Faso, il y a de l'Égypte
C'est sûr et certain, Ousmane le dégage
De son essence, résolument universelle
Alors la France n'est pas un simple repérage
C'est une vie d'artiste et j'y mets mon grain de sel
Fabulle 19/09/2009
Un sculpteur de récupération
Les mauvaises langues s'en est ressenti
Mais il vient en France, l'aberration
Qui est un petit prodige de la vie
L'art est universel, et les hommes
Peuplent ce monde et de l'avis
Général, le Burkina Faso n'est qu'une somme
De préjugés injustes et criminels
L'Afrique, je ne la connais que par l'Égypte
Et un monde peut ressembler à cette prunelle
J'en suis sûr, au Burkina Faso, il y a de l'Égypte
C'est sûr et certain, Ousmane le dégage
De son essence, résolument universelle
Alors la France n'est pas un simple repérage
C'est une vie d'artiste et j'y mets mon grain de sel
Fabulle 19/09/2009
Sénèque
Cours de philosophie par correspondance
Service tout compris, motivation requise
Aversion pour les inégalités et sentence
Irrévocable de Néron et de sa marquise
Et dans sa lettre 47 adressé à Lucilius
Cet extrait vous est offert et non remboursable
On apprend que les esclaves sont des hominibus
Et pour Sénèque, cela est indiscutable!
Et donc, il faut les traiter comme tels
Amitié et respect sont les bases
D'un départ nouveau entre Guillaume Tell
Et son fils, marre de ses emphases!
Mais pour finir, n'oubliez pas
La carte de fidélité Sénèque!
Non, non, ne rigolez pas!
Pour dix lettres, votre parquet en teck!
Fabulle 19/09/2009
Service tout compris, motivation requise
Aversion pour les inégalités et sentence
Irrévocable de Néron et de sa marquise
Et dans sa lettre 47 adressé à Lucilius
Cet extrait vous est offert et non remboursable
On apprend que les esclaves sont des hominibus
Et pour Sénèque, cela est indiscutable!
Et donc, il faut les traiter comme tels
Amitié et respect sont les bases
D'un départ nouveau entre Guillaume Tell
Et son fils, marre de ses emphases!
Mais pour finir, n'oubliez pas
La carte de fidélité Sénèque!
Non, non, ne rigolez pas!
Pour dix lettres, votre parquet en teck!
Fabulle 19/09/2009
Cicéron
Cicéron ne croit pas aux superstitions
A l'astrologie et de la divination
N'en fait pas des prédictions
Sans omettre quelques précautions
Il réfute la prédication
Des haruspices, des devins, de l'imagination
Des hommes, de leurs rêves, fascinations
Qui auraient à faire des revendications
Et l'onirisme dans tout ça?
Et Freud, et la poésie?
Il ne savait pas encore ça
Qu'on allait chasser toutes les hérésies
Cicéron, c'est Poincaré, il paraît
De philosophe à mathématicien
L'astrologie, face à eux, se tairait
Et je ne parle pas des métaphysiciens
Fabulle 18/09/2009
A l'astrologie et de la divination
N'en fait pas des prédictions
Sans omettre quelques précautions
Il réfute la prédication
Des haruspices, des devins, de l'imagination
Des hommes, de leurs rêves, fascinations
Qui auraient à faire des revendications
Et l'onirisme dans tout ça?
Et Freud, et la poésie?
Il ne savait pas encore ça
Qu'on allait chasser toutes les hérésies
Cicéron, c'est Poincaré, il paraît
De philosophe à mathématicien
L'astrologie, face à eux, se tairait
Et je ne parle pas des métaphysiciens
Fabulle 18/09/2009
Le Salon d'art
Les gens discutent peinture
Connaissance, foot et buffet
Avant de reprendre la voiture
Chargé de tableaux surfaits
Car dans le salon, cela fait de l'effet
C'est indéniable, le bleu lui va si bien
Au dessus de la cheminée, on fait
L'admiratif, mais on ne dit rien
Et quand je reviens au salon d'art
Seul, personne ne surveille
Je découvre les si remarquables écarts
Que j'en pleure et ne veille
Aux amis qui rentrent d'une soirée
Je leur demande s'ils se sont bien amusés
Ils me disent que oui, on croit rêver
Pour moi, cette journée fut la plus belle passée
Fabulle 18/09/2009
Connaissance, foot et buffet
Avant de reprendre la voiture
Chargé de tableaux surfaits
Car dans le salon, cela fait de l'effet
C'est indéniable, le bleu lui va si bien
Au dessus de la cheminée, on fait
L'admiratif, mais on ne dit rien
Et quand je reviens au salon d'art
Seul, personne ne surveille
Je découvre les si remarquables écarts
Que j'en pleure et ne veille
Aux amis qui rentrent d'une soirée
Je leur demande s'ils se sont bien amusés
Ils me disent que oui, on croit rêver
Pour moi, cette journée fut la plus belle passée
Fabulle 18/09/2009
L'univers de Royston Ecroyd
Je n'ai pas l'habitude de vanter
Le talent des Anglais
Mais je fais une exception pour présenter
L'univers d'un épongiste inégalé
Qui malgré ses voyages en France
Reste fidèle à son imagination britannique
Et voit même dans mon pays à outrance
Des postures anglophones, c'est véridique
Des scènes chopées à la va vite
Dans notre monde qui va si vite
Et le geste est figé en mouvement
C'est la magie du véhément
Et de cet univers épongé
Brossé par le fabuleux Ecroyd
Je n'ai jamais songé
If he knows Sigmund Freud
Fabulle 18/09/2009
Le talent des Anglais
Mais je fais une exception pour présenter
L'univers d'un épongiste inégalé
Qui malgré ses voyages en France
Reste fidèle à son imagination britannique
Et voit même dans mon pays à outrance
Des postures anglophones, c'est véridique
Des scènes chopées à la va vite
Dans notre monde qui va si vite
Et le geste est figé en mouvement
C'est la magie du véhément
Et de cet univers épongé
Brossé par le fabuleux Ecroyd
Je n'ai jamais songé
If he knows Sigmund Freud
Fabulle 18/09/2009
jeudi 17 septembre 2009
Les premières peurs du monde
J'ai pris conscience que j'allai mourir
Et j'ai peur
Et j'ai compris où le monde allait finir
A cette heure
Ce qui régie ce monde, c'est la peur
Ah, je vais mourir, sauvez moi!
Crie une personne mourante tout en émoi
Je récompenserai tout homme qui donne sa sueur
Étrange fonctionnement que ce monde!
Et t'écris quoi, là? Toujours tes poèmes!
Oui, c'est pour prouver que je vous aime!
Bah, on t'oubliera, ta salle de bain inonde
Et là, quelqu'un viendra à toi
Oui, le plombier, et après?
Cherche, prends un jardinier pour tes cyprès
Et tu n'auras plus peur d'avoir le monde chez toi!
Fabulle 17/09/2009
Et j'ai peur
Et j'ai compris où le monde allait finir
A cette heure
Ce qui régie ce monde, c'est la peur
Ah, je vais mourir, sauvez moi!
Crie une personne mourante tout en émoi
Je récompenserai tout homme qui donne sa sueur
Étrange fonctionnement que ce monde!
Et t'écris quoi, là? Toujours tes poèmes!
Oui, c'est pour prouver que je vous aime!
Bah, on t'oubliera, ta salle de bain inonde
Et là, quelqu'un viendra à toi
Oui, le plombier, et après?
Cherche, prends un jardinier pour tes cyprès
Et tu n'auras plus peur d'avoir le monde chez toi!
Fabulle 17/09/2009
Des électrons libres
L'animation de ces électrons libres
Façonne le monde à leur façon
Si je veux aller à Rome, voir le Tibre
Je claque des mains et passons
Sur les ponts de la ville latine
Et reviens au lycée pour l'éducation
Et commente à mes voisins la chapelle Sixtine
Et de l'homme, sa création
Justement, me revoilà en récréation
Pour discuter gaiement de l'actualité
Et inventer deux ou trois machinations
Humoristiques en renforçant notre vanité
Voilà de quoi vit mon petit lycée
D'imagination, d'application, et de fantaisie
Que d'avoir un drapeau népalais hisser
Au nez des inquisiteurs d'hérésie
Fabulle 17/09/2009
Façonne le monde à leur façon
Si je veux aller à Rome, voir le Tibre
Je claque des mains et passons
Sur les ponts de la ville latine
Et reviens au lycée pour l'éducation
Et commente à mes voisins la chapelle Sixtine
Et de l'homme, sa création
Justement, me revoilà en récréation
Pour discuter gaiement de l'actualité
Et inventer deux ou trois machinations
Humoristiques en renforçant notre vanité
Voilà de quoi vit mon petit lycée
D'imagination, d'application, et de fantaisie
Que d'avoir un drapeau népalais hisser
Au nez des inquisiteurs d'hérésie
Fabulle 17/09/2009
mercredi 16 septembre 2009
Les affaires étrangères
Un attentat à Bogwana!
Vite, une cellule de crise!
Combien de victimes, dégaina
L'homme, et qui pour cette traîtrise?
Un communiqué de l'AFP!
Vite, un recensement, un numéro
Vert, un tsunami, qui a frappé?
Vous êtes tous des zéros!
Ah, merci M. le ministre!
Mais travaillez, bon sang
Que dit le maire d'Istres?
Rien, mais il de notre camp!
Quoi, à Caen, aussi, une victime!
On ne sais pas encore, soyez prudent!
Non, la guerre, c'est un crime!
Et pire, j'ai un mal de dent!
Fabulle 16/09/2009
Vite, une cellule de crise!
Combien de victimes, dégaina
L'homme, et qui pour cette traîtrise?
Un communiqué de l'AFP!
Vite, un recensement, un numéro
Vert, un tsunami, qui a frappé?
Vous êtes tous des zéros!
Ah, merci M. le ministre!
Mais travaillez, bon sang
Que dit le maire d'Istres?
Rien, mais il de notre camp!
Quoi, à Caen, aussi, une victime!
On ne sais pas encore, soyez prudent!
Non, la guerre, c'est un crime!
Et pire, j'ai un mal de dent!
Fabulle 16/09/2009
Lucrèce
Celui-ci nous annonce une bonne nouvelle
C'est qu'après la mort, le néant
Ouais! Super! Faisons une marelle
On ira au moins au ciel après tous ces ans
Ah, quelle fin farceur ce matérialiste
Il suit Epicure les yeux fermés
Il voudrait que les hommes soient épicuristes
Mais l'homme, face à ça, n'est pas armé
Donc l'âme est matérielle selon lui
Et moi, Descartes qui dit le contraire
Et pire, les empiristes pense que ce lui
N'existe pas on ne sait plus faire quelle prière?
Ah, je dis stop! Métaphysique égale
Pas la religion, Lucrèce l'a montré
Et voilà comment on remonte vers l'aval
Du problème vers de fabuleuses contrées
Fabulle 16/09/2009
C'est qu'après la mort, le néant
Ouais! Super! Faisons une marelle
On ira au moins au ciel après tous ces ans
Ah, quelle fin farceur ce matérialiste
Il suit Epicure les yeux fermés
Il voudrait que les hommes soient épicuristes
Mais l'homme, face à ça, n'est pas armé
Donc l'âme est matérielle selon lui
Et moi, Descartes qui dit le contraire
Et pire, les empiristes pense que ce lui
N'existe pas on ne sait plus faire quelle prière?
Ah, je dis stop! Métaphysique égale
Pas la religion, Lucrèce l'a montré
Et voilà comment on remonte vers l'aval
Du problème vers de fabuleuses contrées
Fabulle 16/09/2009
dimanche 13 septembre 2009
Sextus Empiricus
Pour un réfractaire comme moi
Lire du Sextus m'a épuisé
Tout ça pour se dire à soi
Qu'on ne sait rien, il a fallu puisé
Dans les esquisses pyrrhoniennes
Un nom à la pythagoricienne
Académie, casse la tienne!
Pourquoi ces noms ont traversé la mer ionienne?
Car grâce à ces romains fanas
Des grecs et de leur philosophie
L'art d'Empiricus amena
Un mal de tête à Steevy
Je m'éloigne un peu trop du sujet
Car je suis sûr d'exister
Mais que dire de tous ces objets
Je crois que je ne vais pas insister
Fabulle 13/09/2009
Lire du Sextus m'a épuisé
Tout ça pour se dire à soi
Qu'on ne sait rien, il a fallu puisé
Dans les esquisses pyrrhoniennes
Un nom à la pythagoricienne
Académie, casse la tienne!
Pourquoi ces noms ont traversé la mer ionienne?
Car grâce à ces romains fanas
Des grecs et de leur philosophie
L'art d'Empiricus amena
Un mal de tête à Steevy
Je m'éloigne un peu trop du sujet
Car je suis sûr d'exister
Mais que dire de tous ces objets
Je crois que je ne vais pas insister
Fabulle 13/09/2009
Et là, la fosse des sceptiques!
Permettez-moi d'être sceptique
Le court d'un instant
Il paraît qu'il est hypothétique
Que l'homme survive au temps
On ne sait pas, je suis sceptique
Je le rappelle, le court d'un instant
Nos vérités sont si pathétiques
Vous voyez, le scepticisme, c'est tentant
De dire qu'on est sceptique
Le jour du bac, à cet instant
On ne sait rien, ni l'ordre alphabétique
Ni qu'il faut donner du temps au temps
Encore, il existe de fausses sceptiques
C'est les dépressives d'un instant
Qui croient qu'on aime cette humoristique
Scène d'absence de talent
Fabulle 13/09/2009
Le court d'un instant
Il paraît qu'il est hypothétique
Que l'homme survive au temps
On ne sait pas, je suis sceptique
Je le rappelle, le court d'un instant
Nos vérités sont si pathétiques
Vous voyez, le scepticisme, c'est tentant
De dire qu'on est sceptique
Le jour du bac, à cet instant
On ne sait rien, ni l'ordre alphabétique
Ni qu'il faut donner du temps au temps
Encore, il existe de fausses sceptiques
C'est les dépressives d'un instant
Qui croient qu'on aime cette humoristique
Scène d'absence de talent
Fabulle 13/09/2009
Assos en fête
Un festival de couleur
A explosé sur mon visage
Et cette fête de quelques heures
Annonce un vrai virage
Un virage d'un monde qui bouge
Qui se dit qu'il n'y a de crise
Que la crise de rire, et le rouge
Colorie le son qui électrise
Dorénavant, les couleurs sont nos amies
Des rêveries orchestrées
Par des judokas sur leurs tatamis
Ou d'un son de djembé au rythme métré
Cette explosion s'est terminée tard
Dans l'intimité d'un vaste hall
D'hippodrome et quand on part
Le cœur se pince en drôle
Fabulle 12/09/2009
A explosé sur mon visage
Et cette fête de quelques heures
Annonce un vrai virage
Un virage d'un monde qui bouge
Qui se dit qu'il n'y a de crise
Que la crise de rire, et le rouge
Colorie le son qui électrise
Dorénavant, les couleurs sont nos amies
Des rêveries orchestrées
Par des judokas sur leurs tatamis
Ou d'un son de djembé au rythme métré
Cette explosion s'est terminée tard
Dans l'intimité d'un vaste hall
D'hippodrome et quand on part
Le cœur se pince en drôle
Fabulle 12/09/2009
La vérité du C.D.I.
J'ai détruit le raisonnement
D'une première philosophie
Celle qu'on appelle anciennement
Le scepticisme, je le défis
D'une simple vérité indubitable
C'est mon prof de philo qui me l'a dit
Dans ce lycée inhabitable
J'ai détruit également ce taudis
Vous vous demandez quelle est
Cette vérité? Je parlais du C.D.I.
Quand devant, j'y suis passé
Et voici le seule vérité vraie du C.D.I.
Le C.D.I. est toujours fermé
Sauf quand il est ouvert
Elle est là, le philosophe se permet
La satisfaction et une belle mise au vert
Fabulle 11/09/2009
D'une première philosophie
Celle qu'on appelle anciennement
Le scepticisme, je le défis
D'une simple vérité indubitable
C'est mon prof de philo qui me l'a dit
Dans ce lycée inhabitable
J'ai détruit également ce taudis
Vous vous demandez quelle est
Cette vérité? Je parlais du C.D.I.
Quand devant, j'y suis passé
Et voici le seule vérité vraie du C.D.I.
Le C.D.I. est toujours fermé
Sauf quand il est ouvert
Elle est là, le philosophe se permet
La satisfaction et une belle mise au vert
Fabulle 11/09/2009
On y est presque pas
Alors, il paraît que c'est parti
En ce jour de Sainte-Croix
Du manque de lait, on en pâti
C'est clair, je n'ai plus de voix
L'action la plus discrète de septembre
Revient à ces grévistes particuliers
Tiendront-ils jusqu'à décembre?
Car là, le gouvernement ne pourra palier
A la crise qu'ils ont soi-disant
Combattu et refoulée vaillamment
Et après la crise financière
On a le droit à la crise laitière
Parfois, il y a des droits qu'on aimerait pas
Utiliser, des droits qui ne font pas
Plaisir aux éleveurs de France
On mangera plus, selon eux, que des harengs rances
Fabulle 11/09/2009
En ce jour de Sainte-Croix
Du manque de lait, on en pâti
C'est clair, je n'ai plus de voix
L'action la plus discrète de septembre
Revient à ces grévistes particuliers
Tiendront-ils jusqu'à décembre?
Car là, le gouvernement ne pourra palier
A la crise qu'ils ont soi-disant
Combattu et refoulée vaillamment
Et après la crise financière
On a le droit à la crise laitière
Parfois, il y a des droits qu'on aimerait pas
Utiliser, des droits qui ne font pas
Plaisir aux éleveurs de France
On mangera plus, selon eux, que des harengs rances
Fabulle 11/09/2009
mercredi 9 septembre 2009
Epicure
Il ne voulait pas faire de vers
Alors, ce sera une piqure
De philosophie qui sert
A voir le bien comme Epicure
Non pas que celui-ci est un exemple
Mais sa pensée me plaît
Elle est horrible pour les temples
Mais sa vie, il faut bien l'apprécier
On risque de méprendre et confondre
Mais on n'a qu'à lire pour se fondre
Dans les pensées du rebelle
Du mal compris qui ne veut des attelles
Comme tout le monde, d'ailleurs
Et si on ne tique plus à Carpe Diem
C'est des siècles d'apprentissage du meilleur
Épicurien, une éducation comme on les aime
Fabulle 07/09/2009
Alors, ce sera une piqure
De philosophie qui sert
A voir le bien comme Epicure
Non pas que celui-ci est un exemple
Mais sa pensée me plaît
Elle est horrible pour les temples
Mais sa vie, il faut bien l'apprécier
On risque de méprendre et confondre
Mais on n'a qu'à lire pour se fondre
Dans les pensées du rebelle
Du mal compris qui ne veut des attelles
Comme tout le monde, d'ailleurs
Et si on ne tique plus à Carpe Diem
C'est des siècles d'apprentissage du meilleur
Épicurien, une éducation comme on les aime
Fabulle 07/09/2009
On n'a plus besoin des dieux
Voilà ce qu'osa l'homme grec
Connu sous le nom d'Epicure
Dans toutes les pensées intrinsèques
Notre vie devrait être une sinécure
On n'a plus besoin des dieux
Eux vivent dans l'ataraxie
Il ne faut pas prier les cieux
Ils vivent dans une autre galaxie
On voit la vie sous un autre jour
Sans se soucier du jugement dernier
On espère de la vie, en faire le tour
Tant qu'on ne trouble l'entendement
Voilà tout ce qu'osa dire Epicure
Sans se soucier des conséquences
Mais les hommes ont la dent dure
Quand il s'agit de dieux et d'éloquence
Fabulle 07/09/2009
Connu sous le nom d'Epicure
Dans toutes les pensées intrinsèques
Notre vie devrait être une sinécure
On n'a plus besoin des dieux
Eux vivent dans l'ataraxie
Il ne faut pas prier les cieux
Ils vivent dans une autre galaxie
On voit la vie sous un autre jour
Sans se soucier du jugement dernier
On espère de la vie, en faire le tour
Tant qu'on ne trouble l'entendement
Voilà tout ce qu'osa dire Epicure
Sans se soucier des conséquences
Mais les hommes ont la dent dure
Quand il s'agit de dieux et d'éloquence
Fabulle 07/09/2009
lundi 7 septembre 2009
Les bains de mer
Forcément, il y a des réticences
Du sable, des crabes, des algues
Et peut-être pas la prestance
Nécessaire dans les vagues
Le bain est bref, pas le temps
De sortir de ses gonds
En plus avec ce vent
On ressort un peu furibond
Mais content de l'exploit
Dans la Manche, faut dire
On joue pas à l'oie
Vite, dans la mer, il faut agir
On s'excite, on se réchauffe
Dans la froideur de la Manche
On compte, on est tous là sauf
Un fou qui fait encore la planche
Fabulle 06/09/2009
Du sable, des crabes, des algues
Et peut-être pas la prestance
Nécessaire dans les vagues
Le bain est bref, pas le temps
De sortir de ses gonds
En plus avec ce vent
On ressort un peu furibond
Mais content de l'exploit
Dans la Manche, faut dire
On joue pas à l'oie
Vite, dans la mer, il faut agir
On s'excite, on se réchauffe
Dans la froideur de la Manche
On compte, on est tous là sauf
Un fou qui fait encore la planche
Fabulle 06/09/2009
Le portemanteau
On lui laisse nos affaires
Avec une aveugle confiance
Les manteaux n'ont pas à s'en faire
Le portemanteau n'inspire la défiance
Et des fois, le portemanteau, c'est moi
Au moins, on me fait confiance
Je jette tous les objets à la fin du mois
C'est le règlement de la maison de confiance
Le propriétaire s'en satisfait
Il n'y a pas de vacances en magasin
Le travail y est bien fait
Et on est servi avec un regard assassin
Car être portemanteau, ce n'est pas glorieux
Il faut avouer que ça rabaisse un peu
On aura de l'avancement aux cieux
C'est ce qu'on espère un peu
Fabulle 06/09/2009
Avec une aveugle confiance
Les manteaux n'ont pas à s'en faire
Le portemanteau n'inspire la défiance
Et des fois, le portemanteau, c'est moi
Au moins, on me fait confiance
Je jette tous les objets à la fin du mois
C'est le règlement de la maison de confiance
Le propriétaire s'en satisfait
Il n'y a pas de vacances en magasin
Le travail y est bien fait
Et on est servi avec un regard assassin
Car être portemanteau, ce n'est pas glorieux
Il faut avouer que ça rabaisse un peu
On aura de l'avancement aux cieux
C'est ce qu'on espère un peu
Fabulle 06/09/2009
Chausey
Ces 365 jours dans la mer
Sont si seuls la nuit que j'aime
M'y promener dans l'air amer
Et des paroles à tous vents, je sème
J'entretiens une relation avec le fantôme
D'un roi d'Angleterre déchu
Sur ces îlots, il a posé son heaume
S'est réfugié comme il a pu
On discute lui et moi des hommes
Qu'il a côtoyés sur cette île
De ses balades qu'il nomme
Aventures avec un frémissement de cil
Puis on observe le flux et reflux
Éclairé par la généreuse lune
Avant que le jour et les hommes affluent
Sur ces atomes nocturnes
Fabulle 06/09/2009
Sont si seuls la nuit que j'aime
M'y promener dans l'air amer
Et des paroles à tous vents, je sème
J'entretiens une relation avec le fantôme
D'un roi d'Angleterre déchu
Sur ces îlots, il a posé son heaume
S'est réfugié comme il a pu
On discute lui et moi des hommes
Qu'il a côtoyés sur cette île
De ses balades qu'il nomme
Aventures avec un frémissement de cil
Puis on observe le flux et reflux
Éclairé par la généreuse lune
Avant que le jour et les hommes affluent
Sur ces atomes nocturnes
Fabulle 06/09/2009
Dans l'immensité
Les dunes du désert reflètent
Les rayons meurtriers et la soif
M'empêche d'avancer, la tête
Ne suit plus, j'ai tellement soif
Dans un moment, à quoi la vie
Se raccroche-t-elle? A l'envie
D'exister, de survivre quelque soit
Les conséquences, je suis aux abois
Le Sahara est immense
Aucune chance
De s'en sortir par cette chaleur
Et la nuit, impossible fraîcheur
Un tel paradoxe dans le désert
C'est si rare d'être rescapé de crash
Je ne serai sauver, j'ai prié la misère
Et tellement marché que je lâche
Fabulle 06/09/2009
Les rayons meurtriers et la soif
M'empêche d'avancer, la tête
Ne suit plus, j'ai tellement soif
Dans un moment, à quoi la vie
Se raccroche-t-elle? A l'envie
D'exister, de survivre quelque soit
Les conséquences, je suis aux abois
Le Sahara est immense
Aucune chance
De s'en sortir par cette chaleur
Et la nuit, impossible fraîcheur
Un tel paradoxe dans le désert
C'est si rare d'être rescapé de crash
Je ne serai sauver, j'ai prié la misère
Et tellement marché que je lâche
Fabulle 06/09/2009
samedi 5 septembre 2009
Berlin 24
Pour une fois que je regarde Arte
En attendant Zarathustra
Et j'ai vu Berlin endetté
Et tout un peuple s'illustra
J'ai cette ville à mes pieds
Sur ma télé, j'ai l'impression
De tout contrôler comme il me sied
Et de comprendre cette ville sous pression
Je regarde la vie humaine
Son petit théâtre meurtri d'histoire
Et me dit que notre vie n'est pas Seine
Mais Spree, histoire de déboires
Distractions de petits poètes
Mais l'acteur se cache en nous
Et si des Berlinois, je veux en être?
Je répondrais qu'il y a du Strauss en nous
Fabulle 05/09/2009
En attendant Zarathustra
Et j'ai vu Berlin endetté
Et tout un peuple s'illustra
J'ai cette ville à mes pieds
Sur ma télé, j'ai l'impression
De tout contrôler comme il me sied
Et de comprendre cette ville sous pression
Je regarde la vie humaine
Son petit théâtre meurtri d'histoire
Et me dit que notre vie n'est pas Seine
Mais Spree, histoire de déboires
Distractions de petits poètes
Mais l'acteur se cache en nous
Et si des Berlinois, je veux en être?
Je répondrais qu'il y a du Strauss en nous
Fabulle 05/09/2009
Aristote
J'ai trouvé le fana de justice
Je demande à la barre Aristote
Qui nous explique de la justice
Que c'est une éthique, mais il radote
Le magistrat s'ennuie, il aimerait
Bien le taper, sachant qu'il ne craint
Rien avec un philosophe, il serait
Tranquille mais il aurait un tour de rein
On ne fait pas ce qu'on veut
La justice également et Aristote
N'a pas compris que si on fait la queleuleu
Au tribunal, c'est pour valider son vote
Ça a dégénéré, comme d'habitude
Mais j'aime mon époque
Et Aristote ne me plonge pas en béatitude
Moi, je fais ma cuisine sans toque
Fabulle 05/09/2009
Je demande à la barre Aristote
Qui nous explique de la justice
Que c'est une éthique, mais il radote
Le magistrat s'ennuie, il aimerait
Bien le taper, sachant qu'il ne craint
Rien avec un philosophe, il serait
Tranquille mais il aurait un tour de rein
On ne fait pas ce qu'on veut
La justice également et Aristote
N'a pas compris que si on fait la queleuleu
Au tribunal, c'est pour valider son vote
Ça a dégénéré, comme d'habitude
Mais j'aime mon époque
Et Aristote ne me plonge pas en béatitude
Moi, je fais ma cuisine sans toque
Fabulle 05/09/2009
Il y a 2344 ans
Sarkozy n'est pas le premier homme
A parler du pouvoir d'achat
Isaac devait bien acheter ses pommes
Et des croquettes pour son chat
Non, le premier homme, c'est Aristote
Qui défrayer la chronique à coups
De monnaie et permettez cette petite litote
Il n'était pas complètement stupide du tout
Et il pense à quoi? A amasser
Car le pouvoir d'achat a fasciné
Aristote, grecs, romains et français
Qui seraient prêt aujourd'hui à assassiner
Comme quoi, la philo est en avance
Sur son temps et maintenant Sarko
Ne sait plus quoi dire! Pas de chance!
Monsieur, laissez faire les pros
Fabulle 04/09/2009
A parler du pouvoir d'achat
Isaac devait bien acheter ses pommes
Et des croquettes pour son chat
Non, le premier homme, c'est Aristote
Qui défrayer la chronique à coups
De monnaie et permettez cette petite litote
Il n'était pas complètement stupide du tout
Et il pense à quoi? A amasser
Car le pouvoir d'achat a fasciné
Aristote, grecs, romains et français
Qui seraient prêt aujourd'hui à assassiner
Comme quoi, la philo est en avance
Sur son temps et maintenant Sarko
Ne sait plus quoi dire! Pas de chance!
Monsieur, laissez faire les pros
Fabulle 04/09/2009
vendredi 4 septembre 2009
La ligne rouge
A midi quatre partout dans le monde
Une ligne rouge pointillée apparut
Dans d'insolites endroits et sous les ondes
Et une question se posa alors dans les rues:
Qui fut l'investigateur, le voyageur
Le créateur de la ligne rouge?
Qui les plus beaux endroits majeurs
Traverserait et partirait de la place rouge?
Sur le monde, à midi cinq
Les pointillés sont devenues des heures
Des dates, avant que quelqu'un trinque
Et arrive sur la ligne à l'heure
Du Taj Mahal à l'Acropole
Et des pôles aux plus grandes salles
De la muraille aux petits atolls
Vous verrez passer un marginal
Fabulle 04/09/2009
Une ligne rouge pointillée apparut
Dans d'insolites endroits et sous les ondes
Et une question se posa alors dans les rues:
Qui fut l'investigateur, le voyageur
Le créateur de la ligne rouge?
Qui les plus beaux endroits majeurs
Traverserait et partirait de la place rouge?
Sur le monde, à midi cinq
Les pointillés sont devenues des heures
Des dates, avant que quelqu'un trinque
Et arrive sur la ligne à l'heure
Du Taj Mahal à l'Acropole
Et des pôles aux plus grandes salles
De la muraille aux petits atolls
Vous verrez passer un marginal
Fabulle 04/09/2009
Platon
C'est dans une caverne que je l'ai vu
Pour la première fois, les yeux bandés
Depuis, je ne l'ai pas revu
Car il est sur le soleil qu'on entendait
Ça peut surprendre, je peux comprendre
La philosophie a des raisons que la raison
Ne connaît pas, il faut entreprendre
Se libérer au changement de saison
Je pense plutôt qu'il aurait voulu
Gouverner, avoir du pouvoir
Et c'est pour ça que je n'ai pas relu
Son écrit, j'espère d'autres en voir
Car Platon n'est pas seul
Dans ce brouhaha philosophique
Aristote nous ouvre à présent l'œil
Mais il faudra qu'il s'explique
Fabulle 03/09/2009
Pour la première fois, les yeux bandés
Depuis, je ne l'ai pas revu
Car il est sur le soleil qu'on entendait
Ça peut surprendre, je peux comprendre
La philosophie a des raisons que la raison
Ne connaît pas, il faut entreprendre
Se libérer au changement de saison
Je pense plutôt qu'il aurait voulu
Gouverner, avoir du pouvoir
Et c'est pour ça que je n'ai pas relu
Son écrit, j'espère d'autres en voir
Car Platon n'est pas seul
Dans ce brouhaha philosophique
Aristote nous ouvre à présent l'œil
Mais il faudra qu'il s'explique
Fabulle 03/09/2009
Récit de haut-vol
Je n'ai pas fini de m'amuser
Avec tout ce qui se trouve en musée
Car il y a tant à affronter
Et tant de stratagème à monter
Pour pouvoir dérober le monde
Et me réfugier sur les ondes
Où les personnes avides de curiosité
Pourront m'écouter avec vérité
Car je ne mens jamais sur le vol
Paris-Nice, c'est trop court
Pour faire un exercice de haut-vol
Je préfère clairement les grands tours
Opérateurs sans aucun doute
Tant que les bagages sont dans la soute
Ça va car il y en a pour des millions
Ça coûte plus cher que ce triste avion
Fabulle 02/09/2009
Avec tout ce qui se trouve en musée
Car il y a tant à affronter
Et tant de stratagème à monter
Pour pouvoir dérober le monde
Et me réfugier sur les ondes
Où les personnes avides de curiosité
Pourront m'écouter avec vérité
Car je ne mens jamais sur le vol
Paris-Nice, c'est trop court
Pour faire un exercice de haut-vol
Je préfère clairement les grands tours
Opérateurs sans aucun doute
Tant que les bagages sont dans la soute
Ça va car il y en a pour des millions
Ça coûte plus cher que ce triste avion
Fabulle 02/09/2009
Rentrée en Chine
Je suis rentré pour la énième fois
On peut se dire que c'est la fin
Vu le nom, mais on abandonne pas la foi
Quand il reste à manger, si on a faim
L'habituelle routine magique s'est faite
Il ne reste plus qu'à jouer
Sur scène, ce ne sera pas la fête
Alors, j'espère ne pas y rejouer
Car c'est une pièce un peu longue
Mais quel frémissement dans la salle
Quand retentit le majestueux gong
Oui, on délocalise, cette année, le lycée
En Chine pour des raisons commerciales
Et on ne sait toujours pas qui c'est!
Fabulle 02/09/09
On peut se dire que c'est la fin
Vu le nom, mais on abandonne pas la foi
Quand il reste à manger, si on a faim
L'habituelle routine magique s'est faite
Il ne reste plus qu'à jouer
Sur scène, ce ne sera pas la fête
Alors, j'espère ne pas y rejouer
Car c'est une pièce un peu longue
Mais quel frémissement dans la salle
Quand retentit le majestueux gong
Oui, on délocalise, cette année, le lycée
En Chine pour des raisons commerciales
Et on ne sait toujours pas qui c'est!
Fabulle 02/09/09
mercredi 2 septembre 2009
Vivre, ce simple mot...
Vivre, ce simple mot qui résonne
Dans nos cœurs, qui a chaque battement
Nous dit que nous sommes unique et sonne
Dans nos corps éternellement
Si simple que cela puisse paraître
Ces gestes banals et quotidiens!
Et que chaque jour, on puisse réapparaître
De son lit, quelque soit le méridien
Je me dis que c'est naturel
Mais c'est si étrange
Et pourtant, c'est la chose la plus belle
Qui personne, ne dérange
On ne se pose plus la question
Du pourquoi, du comment
Mais vivre, cette simple interrogation
Me plaît extraordinairement
Fabulle 01/09/2009
Dans nos cœurs, qui a chaque battement
Nous dit que nous sommes unique et sonne
Dans nos corps éternellement
Si simple que cela puisse paraître
Ces gestes banals et quotidiens!
Et que chaque jour, on puisse réapparaître
De son lit, quelque soit le méridien
Je me dis que c'est naturel
Mais c'est si étrange
Et pourtant, c'est la chose la plus belle
Qui personne, ne dérange
On ne se pose plus la question
Du pourquoi, du comment
Mais vivre, cette simple interrogation
Me plaît extraordinairement
Fabulle 01/09/2009
mardi 1 septembre 2009
L'art de paraître
Arrêtons-nous un instant
Sur ce que l'on ne comprend pas
Ça va en prendre du temps
Allons donc faire quelques pas
Ce que nous savons, c'est qu'on ne sait rien
Ce qu'est le bien n'est pas forcément soleil
Ce qui est mal ne peut-être bien
Sauf ci ce mal atteint le soleil
Donc, la limite est tangible
Ce qu'on voit, on y est sensible
Ce qu'on ne voit pas, on s'en fout
De philosophe, on passe à fou
Pas évident de rendre accessible
Une chose qui ne pourra l'être
Pour cela, le philosophe parle à une cible
Qui dit oui ou non, c'est tout l'art de paraître
Fabulle 01/09/2009
Sur ce que l'on ne comprend pas
Ça va en prendre du temps
Allons donc faire quelques pas
Ce que nous savons, c'est qu'on ne sait rien
Ce qu'est le bien n'est pas forcément soleil
Ce qui est mal ne peut-être bien
Sauf ci ce mal atteint le soleil
Donc, la limite est tangible
Ce qu'on voit, on y est sensible
Ce qu'on ne voit pas, on s'en fout
De philosophe, on passe à fou
Pas évident de rendre accessible
Une chose qui ne pourra l'être
Pour cela, le philosophe parle à une cible
Qui dit oui ou non, c'est tout l'art de paraître
Fabulle 01/09/2009
Inscription à :
Articles (Atom)