Mon tour du monde à moi, il ressemble
A l'aventure des rencontres étranges
La mort de l'ennui, c'est un ensemble
Vivre la liberté, ça nous dérange
La Terre est là telle qu'on la voit
Alors, il est temps de voyager
C'est l'aventure qui prévoit
Les émotions d'un étranger
Je rêve de découvrir contrées reculées
En un clic, on peut sur une idée
Voyez donc la beauté des acculés
Et de leurs cultures débridées
Des rizières à la jungle amazonienne
Des glaces aux volcans cracheurs
Découvrez la mythologie fabulienne
Et la diversité de ses acteurs
Fabulle 31/01/2009
samedi 31 janvier 2009
Contre la morosité
Un magicien des couleurs, des étoiles
Qui ne dévisage les humains
Pour qu'il file ses toiles
Des portraits de ses dix mains
Un coup de pinceau gicle
Tel à la Pollock, le dripping
A l'opposée des chefs de la clique
Tous les matins, fait son jogging
Il s'inspire des passants pressés
Qui oublieux, ne lèvent la tête
S'enferment dans de financières pensées
Oubliant de crier, de faire la fête
On pourra dire ce qu'on voudra
Le peintre sert ses concitoyens
Je ne sais comment, dans ses draps
Les couleurs aident tous nos voisins
Fabulle 31/01/2009
Qui ne dévisage les humains
Pour qu'il file ses toiles
Des portraits de ses dix mains
Un coup de pinceau gicle
Tel à la Pollock, le dripping
A l'opposée des chefs de la clique
Tous les matins, fait son jogging
Il s'inspire des passants pressés
Qui oublieux, ne lèvent la tête
S'enferment dans de financières pensées
Oubliant de crier, de faire la fête
On pourra dire ce qu'on voudra
Le peintre sert ses concitoyens
Je ne sais comment, dans ses draps
Les couleurs aident tous nos voisins
Fabulle 31/01/2009
lundi 26 janvier 2009
Suis-je fou?
Etes-vous prêt à plonger?
Découvrir les méandres du subconscient
Qui enfermait dans la tête allongée
Sur un divan, le psy est omniscient
Ce voyage sans retour nous amène
A une question universelle insensée
Le psy commence, il prend les rennes
De ce train à toute vitesse lancée
Une bête est en nous
Elle nous tient en joue
Dans un corps et une forme de gnou
Pas besoin de faire des rajouts
Certes, je suis fou
De vous peut-être mais dans ma tête
C'est pas tout net
Est-ce moi ou les autres qui sont fous?
(La sonnerie retentit et m'effraie
Fin des cours, je sors de français)
Fabulle 26/01/2009
Découvrir les méandres du subconscient
Qui enfermait dans la tête allongée
Sur un divan, le psy est omniscient
Ce voyage sans retour nous amène
A une question universelle insensée
Le psy commence, il prend les rennes
De ce train à toute vitesse lancée
Une bête est en nous
Elle nous tient en joue
Dans un corps et une forme de gnou
Pas besoin de faire des rajouts
Certes, je suis fou
De vous peut-être mais dans ma tête
C'est pas tout net
Est-ce moi ou les autres qui sont fous?
(La sonnerie retentit et m'effraie
Fin des cours, je sors de français)
Fabulle 26/01/2009
Sifflotements
Je vous l'avoue, je ne sais siffler
Alors pour moi, impossible de guetter
Ou encore de couvrir mon genou enflé
Ou bien de chantonner l'été
Ah, que cette incapacité m'obsède
Je plie mes lèvres en quatre
Rien ne sort, pas un bruit qui possède
La moindre note ou un rythme à battre
Techniques de diversion, les uhs uhs
Bon, cela fait moins classe et social
Mais pour couvrir les chahuts
Il faut bien plus qu'une bouche labiale
Désespéré, je me promène sur la grande place
Pour chercher un merle ou autre oiseau sacré
Je l'avalerai pour qu'il siffle à ma place
En enfin, le sifflotement n'aura plus de secret
Fabulle 26/01/2009
Alors pour moi, impossible de guetter
Ou encore de couvrir mon genou enflé
Ou bien de chantonner l'été
Ah, que cette incapacité m'obsède
Je plie mes lèvres en quatre
Rien ne sort, pas un bruit qui possède
La moindre note ou un rythme à battre
Techniques de diversion, les uhs uhs
Bon, cela fait moins classe et social
Mais pour couvrir les chahuts
Il faut bien plus qu'une bouche labiale
Désespéré, je me promène sur la grande place
Pour chercher un merle ou autre oiseau sacré
Je l'avalerai pour qu'il siffle à ma place
En enfin, le sifflotement n'aura plus de secret
Fabulle 26/01/2009
L'emprise de la nuit
A la sortie de mon école
Se trouve une jolie poubelle
Remplie de mégots et d'alcools
La nuit nous appelle
Un lampadaire mauvais n'éclaire
Que mon plus sombre côté
Les idées deviennent claires
Il faut que j'aille voter
Mais je ne suis encore majeur
Alors, falsifions nos papiers
Enfin, je deviens un nageur
Flotte au vent l'enseigne du drapier
Errance dans les petites avenues
Une marche sans intérêt
Peut-être attendais-je la venue
De l'unique français avec un béret?
Fabulle 26/01;2009
Se trouve une jolie poubelle
Remplie de mégots et d'alcools
La nuit nous appelle
Un lampadaire mauvais n'éclaire
Que mon plus sombre côté
Les idées deviennent claires
Il faut que j'aille voter
Mais je ne suis encore majeur
Alors, falsifions nos papiers
Enfin, je deviens un nageur
Flotte au vent l'enseigne du drapier
Errance dans les petites avenues
Une marche sans intérêt
Peut-être attendais-je la venue
De l'unique français avec un béret?
Fabulle 26/01;2009
dimanche 25 janvier 2009
Carthago delenda est
Caton n'a pas vu de sa citation, la fin
De cette civilisation décimée
Rasée, déracinée mais enfin
Vaincue, les Romains peuvent ramer
Comment peut-on rayer une civilisation
De la carte sur une simple haine?
Voici donc notre belle évolution
Repartons sur des bases saines
Ce n'est pas que je n'aime pas Caton
Le censeur à droit à la dérive
Les dattes si proches fout les jetons
Tous les soldats sur le Tibre et ses rives!
Fabulle 24/01/2009
De cette civilisation décimée
Rasée, déracinée mais enfin
Vaincue, les Romains peuvent ramer
Comment peut-on rayer une civilisation
De la carte sur une simple haine?
Voici donc notre belle évolution
Repartons sur des bases saines
Ce n'est pas que je n'aime pas Caton
Le censeur à droit à la dérive
Les dattes si proches fout les jetons
Tous les soldats sur le Tibre et ses rives!
Fabulle 24/01/2009
vendredi 23 janvier 2009
L'épopée
Il va voir enfin mon vrai visage
Et que j'ai une meilleure image
De ma personnalité trop multiple
Je vais lui raconter mon périple
Celui d'Ulysse n'est rien à côté
Et celui d'Enée ne peut ôter
L'exploit que j'ai effectué
Tant d'hommes ont été tués
Tout a commencé sur la mer Egée
Cinquante degrés au soleil, imaginez
Les requins m'entouraient, m'encerclaient
Voici ma vie qui a périclitait
La fin est horrible, une fin funeste
C'est pour cela que je reste modeste
Car je n'ai fait qu'une épopée
Et pas l'objet d'une prosopopée
Fabulle 23/01/2009
Et que j'ai une meilleure image
De ma personnalité trop multiple
Je vais lui raconter mon périple
Celui d'Ulysse n'est rien à côté
Et celui d'Enée ne peut ôter
L'exploit que j'ai effectué
Tant d'hommes ont été tués
Tout a commencé sur la mer Egée
Cinquante degrés au soleil, imaginez
Les requins m'entouraient, m'encerclaient
Voici ma vie qui a périclitait
La fin est horrible, une fin funeste
C'est pour cela que je reste modeste
Car je n'ai fait qu'une épopée
Et pas l'objet d'une prosopopée
Fabulle 23/01/2009
Histoire des sciences
Hypothèse d'un autre monde
Peut-être d'outre-tombe
Mais je crois que la Terre est ronde
Et les bras leur en tombent
On m'a dit un jour
Méfie toi des avancées scientifiques
Mes découvertes voient le jour
Mon succès n'est pas bénéfique
Les ennemis arrivent sur le perron
Frappent à la porte, pas de réponse
Entrent par la fenêtre, nous verrons
S'ils arrivent, je me jette dans les ronces
La liberté des sciences s'acquièrent
Avec labeur, sacrifices humains
Et si seulement, mes ennemis vaquèrent
A faire des bêtises avec leur propres mains
Fabulle 23/01/2009
Peut-être d'outre-tombe
Mais je crois que la Terre est ronde
Et les bras leur en tombent
On m'a dit un jour
Méfie toi des avancées scientifiques
Mes découvertes voient le jour
Mon succès n'est pas bénéfique
Les ennemis arrivent sur le perron
Frappent à la porte, pas de réponse
Entrent par la fenêtre, nous verrons
S'ils arrivent, je me jette dans les ronces
La liberté des sciences s'acquièrent
Avec labeur, sacrifices humains
Et si seulement, mes ennemis vaquèrent
A faire des bêtises avec leur propres mains
Fabulle 23/01/2009
jeudi 22 janvier 2009
Un dernier pour la route
Un serveur vient vers moi
Me demande si encore je bois
Je dis que non, j'ai plus soif
Un chapeau avance seul, drôle de coiffe
Une redingote s'avance vers moi
Et me dit "Cher ami, avec vous, je bois!"
Je dis que non, j'ai plus soif
Il repart et me dit au revoir d'un ouaf
Justement, un chien approche de moi
Aboie, il voudrait que je bois
Je dis que non, j'ai plus soif
S'en va avec un dernier ouaf
Le patron, son dernier client, moi
M'annonce que je dois
Partir, non, j'ai encore soif
Me fout dehors alors que j'ai toujours soif
Fabulle 22/01/2009
Me demande si encore je bois
Je dis que non, j'ai plus soif
Un chapeau avance seul, drôle de coiffe
Une redingote s'avance vers moi
Et me dit "Cher ami, avec vous, je bois!"
Je dis que non, j'ai plus soif
Il repart et me dit au revoir d'un ouaf
Justement, un chien approche de moi
Aboie, il voudrait que je bois
Je dis que non, j'ai plus soif
S'en va avec un dernier ouaf
Le patron, son dernier client, moi
M'annonce que je dois
Partir, non, j'ai encore soif
Me fout dehors alors que j'ai toujours soif
Fabulle 22/01/2009
Cortège
Il me reste à vous saluer
Avant de vous quitter
Respirer, reprendre son souffle
J'enfile mes dernières moufles
Je pars à la montagne
En train couchette, je la gagne
Allongé, les pieds devant moi
C'est la première fois, je suis en émoi
Une couchette de bois avec un hublot
Les rails crissent, le train s'arrête Fontainebleau
Où sont les neiges? Derrière ce soleil
Le train repart, je me réveille
Une avalanche de foule défile
Devant mes bagages encore immobiles
Douze pieds viennent me chercher, je ne démord
De cette idée, je suis bien mort
Fabulle 22/01/2009
Avant de vous quitter
Respirer, reprendre son souffle
J'enfile mes dernières moufles
Je pars à la montagne
En train couchette, je la gagne
Allongé, les pieds devant moi
C'est la première fois, je suis en émoi
Une couchette de bois avec un hublot
Les rails crissent, le train s'arrête Fontainebleau
Où sont les neiges? Derrière ce soleil
Le train repart, je me réveille
Une avalanche de foule défile
Devant mes bagages encore immobiles
Douze pieds viennent me chercher, je ne démord
De cette idée, je suis bien mort
Fabulle 22/01/2009
Cruautés
Je voudrais expliquer la cruauté
De mes poèmes écrits précédemment
C'est pour me libérer et non hanter
Les têtes de mes amis au vent
Les cinq minutes noires du jour
Sont un principe breveté
Contre toutes marques qui m'entourent
Essayez donc au prochain été
Bizarrement, je me sens bien
En même temps, je ne suis pas fou
Peut-être un déluré et un pas bien
Laissons mourir les jonquilles mais pas les fous
Je préfère sauvegarder les vies
Plutôt que de les envoyer à la mort
Oui, on parlait de la cruauté de mes avis
Mais ceux de la prison entassent les corps
Fabulle 22/1/29
De mes poèmes écrits précédemment
C'est pour me libérer et non hanter
Les têtes de mes amis au vent
Les cinq minutes noires du jour
Sont un principe breveté
Contre toutes marques qui m'entourent
Essayez donc au prochain été
Bizarrement, je me sens bien
En même temps, je ne suis pas fou
Peut-être un déluré et un pas bien
Laissons mourir les jonquilles mais pas les fous
Je préfère sauvegarder les vies
Plutôt que de les envoyer à la mort
Oui, on parlait de la cruauté de mes avis
Mais ceux de la prison entassent les corps
Fabulle 22/1/29
Mon ABC
Attendre quelqu'un en étant serein
Béatifierez d'office l'acteur incognito
Créerait un engouement un peu trop
Disproportionné, combat d'un coq
Elargir son cercle et le trahir
Fatiguer ses amis et ses ennemis
Guiderai son propriétaire, un idiot
Hélas, ce n'est qu'un triste inconnu
Invisible, il s'appelait Antoïnov
Jeune missionnaire en plein slow
Kandinsky le vend pour dix
Laissez moi voir mon psy
Mentez et savourez
Fabulle 22/01/2009
Béatifierez d'office l'acteur incognito
Créerait un engouement un peu trop
Disproportionné, combat d'un coq
Elargir son cercle et le trahir
Fatiguer ses amis et ses ennemis
Guiderai son propriétaire, un idiot
Hélas, ce n'est qu'un triste inconnu
Invisible, il s'appelait Antoïnov
Jeune missionnaire en plein slow
Kandinsky le vend pour dix
Laissez moi voir mon psy
Mentez et savourez
Fabulle 22/01/2009
lundi 19 janvier 2009
Mao rit
Bien en Nouvelle-Zélande
Face à ses doubles contraires
Fiers, nobles dans une lande
Nouveaux et futurs serfs
Cette hypothétique rencontre
Imaginaire, au service du poète
Tout cela va à l'encontre
Du fairplay du dernier set
Certes inexistant mais bon
Le poète a le droit d'imaginer
Certes, un bon jeu de mot, un bon
N'arrive pas à me faire lambiner
Alors sur ces terres australes
On rigole encore de ma blague
Bandes de cultivés écoutant les râles
Et les derniers souffles des vagues
fABULLE 19/01/2009
Face à ses doubles contraires
Fiers, nobles dans une lande
Nouveaux et futurs serfs
Cette hypothétique rencontre
Imaginaire, au service du poète
Tout cela va à l'encontre
Du fairplay du dernier set
Certes inexistant mais bon
Le poète a le droit d'imaginer
Certes, un bon jeu de mot, un bon
N'arrive pas à me faire lambiner
Alors sur ces terres australes
On rigole encore de ma blague
Bandes de cultivés écoutant les râles
Et les derniers souffles des vagues
fABULLE 19/01/2009
And the winner is...
La folle marche des numéros
Extasie la salle trop concentrée
Pour m'apercevoir, sombre héros
Ils ne vivent pas dans la même contrée
Et enfin, la concentration finale
L'enjeu est de taille
Dans cette soirée hivernale
Mon jour de chance, faut que ça aille
Bien sûr, j'ai perdu
Croyez-vous que je puisse gagner?
Encore une chance avant d'être pendu
Attention, j'arrive, ça va saigner
Fabulle 18/01/2009
Extasie la salle trop concentrée
Pour m'apercevoir, sombre héros
Ils ne vivent pas dans la même contrée
Et enfin, la concentration finale
L'enjeu est de taille
Dans cette soirée hivernale
Mon jour de chance, faut que ça aille
Bien sûr, j'ai perdu
Croyez-vous que je puisse gagner?
Encore une chance avant d'être pendu
Attention, j'arrive, ça va saigner
Fabulle 18/01/2009
samedi 17 janvier 2009
Tu dis jamais rien sur ta religion!
Car peut-être je n'en ai pas envie
Et puis je n'ai rien à dire
Alors la religion, c'est pas ma vie
Tu crois pas que mille fois, je vais le redire
Puis j'y comprends rien à la Bible
Il me faudrait peut-être un guide
Pour moi, c'est bien trop invisible
Mais je vais pas en faire un déicide
Et toi, c'est quoi ta religion?
Moi je suis un agnostique
Qui cherche une religion
Vagabond comme un moustique
Je pique pas et je contredis rien
Mais laissez moi réfléchir
Je suis un homme, pas un chien
Je ne vais pas fléchir !
Fabulle 17/01/2009
Et puis je n'ai rien à dire
Alors la religion, c'est pas ma vie
Tu crois pas que mille fois, je vais le redire
Puis j'y comprends rien à la Bible
Il me faudrait peut-être un guide
Pour moi, c'est bien trop invisible
Mais je vais pas en faire un déicide
Et toi, c'est quoi ta religion?
Moi je suis un agnostique
Qui cherche une religion
Vagabond comme un moustique
Je pique pas et je contredis rien
Mais laissez moi réfléchir
Je suis un homme, pas un chien
Je ne vais pas fléchir !
Fabulle 17/01/2009
Fabulations
Il discute sur le perron
Indiffère le passant
Qui le traite de con
Dur d'être un pensant
Il raconte des fabulations
Invente univers imaginaires
Qu'il compose aux récréations
De son existence, un pauvre millionnaire
Il cherche l'amitié, le bon mot
Une quête de tout instant
La vie est là, dans un esquimau
Cannibalisme, on se détend
Surréalisme chez la grande ourse
Me vint des pensées arbitraires
Retour aux sources
Et à son contraire
Fabulle 10/01/2008
Indiffère le passant
Qui le traite de con
Dur d'être un pensant
Il raconte des fabulations
Invente univers imaginaires
Qu'il compose aux récréations
De son existence, un pauvre millionnaire
Il cherche l'amitié, le bon mot
Une quête de tout instant
La vie est là, dans un esquimau
Cannibalisme, on se détend
Surréalisme chez la grande ourse
Me vint des pensées arbitraires
Retour aux sources
Et à son contraire
Fabulle 10/01/2008
samedi 10 janvier 2009
Celui qui est appelé autrement
Tout le temps, dans la ville, on me surnomme
Dans les blagues, l'idiot, l'imbécile, le garnement
Un imposteur, ingénieux, il se prénomme
Celui qui est autrement appelé
Cette énigme vielle de mes treize ans
M'obsède et la réponse si aisée
J'admire cette personne, ce dément
En cinq lettres, je me sens lésé
Et pourtant, le naturel est artificiel
Dans son cas, l'étrange rencontre
S'est déroulé sous un arc-en-ciel
Aberration devant l'irréel, je suis contre
L'image en 3D est sorti de l'ordinateur
Il y avait de l'électricité dans l'air
Apparemment, une coupure de l'horodateur
Provoqué par un golem, apparu hier
Fabulle 08/11/09
Dans les blagues, l'idiot, l'imbécile, le garnement
Un imposteur, ingénieux, il se prénomme
Celui qui est autrement appelé
Cette énigme vielle de mes treize ans
M'obsède et la réponse si aisée
J'admire cette personne, ce dément
En cinq lettres, je me sens lésé
Et pourtant, le naturel est artificiel
Dans son cas, l'étrange rencontre
S'est déroulé sous un arc-en-ciel
Aberration devant l'irréel, je suis contre
L'image en 3D est sorti de l'ordinateur
Il y avait de l'électricité dans l'air
Apparemment, une coupure de l'horodateur
Provoqué par un golem, apparu hier
Fabulle 08/11/09
Tara
Un bateau immobile dans la banquise
Bascule dans l'oubli des hommes
Visitant des lieux magiques, l'exquise
Tara, semble méprisé du monde des hommes
Sa voile est dépliée, les chercheurs à quai
Ils forent la glace, la recherche avance
Le temps se gâte, et pourtant il vaquait
A neiger, faire froid, geler, il nous devance
Le jour se lève pour un dernier jour
Car bientôt, on ne reverra pas ses rayons
La nuit, le froid, les étoiles pour toujours
Et des pensées pour l'éternité, rêvons
La glace se brise, le génie éclate
Un saut dans le vide, visage inquiet
Un dernier événement, je relate
Je rejoindrai l'Europe, joyeux mais inquiet
Fabullle 8.01.2009
Bascule dans l'oubli des hommes
Visitant des lieux magiques, l'exquise
Tara, semble méprisé du monde des hommes
Sa voile est dépliée, les chercheurs à quai
Ils forent la glace, la recherche avance
Le temps se gâte, et pourtant il vaquait
A neiger, faire froid, geler, il nous devance
Le jour se lève pour un dernier jour
Car bientôt, on ne reverra pas ses rayons
La nuit, le froid, les étoiles pour toujours
Et des pensées pour l'éternité, rêvons
La glace se brise, le génie éclate
Un saut dans le vide, visage inquiet
Un dernier événement, je relate
Je rejoindrai l'Europe, joyeux mais inquiet
Fabullle 8.01.2009
vendredi 2 janvier 2009
Le haut est en bas
Valse d'un temps
Disparu dans les oubliettes
Il y avait des hommes charmants
Et également, ceux des goélettes
Une en particulier, la perle noire
Traversait les océans
En quête d'une liberté ostentatoire
Nouveau genre de mécréants
Pour s'en sortir, il fallut
Déchiffrer énigmes de la vie
Aux portes miraculeuses, il lut
Une phrase absurde, une vieille amie
Il toucha le ciel, l'imposteur
Se retrouva messager d'une mission
Libéra les esprits frappeurs
Et présenta sa démission
Fabulle 31 12 2008
Disparu dans les oubliettes
Il y avait des hommes charmants
Et également, ceux des goélettes
Une en particulier, la perle noire
Traversait les océans
En quête d'une liberté ostentatoire
Nouveau genre de mécréants
Pour s'en sortir, il fallut
Déchiffrer énigmes de la vie
Aux portes miraculeuses, il lut
Une phrase absurde, une vieille amie
Il toucha le ciel, l'imposteur
Se retrouva messager d'une mission
Libéra les esprits frappeurs
Et présenta sa démission
Fabulle 31 12 2008
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